la choucroute garnie
reflexion politique revolution philosophique fascisme ordinaire dictature invisible manipulation et joie de vivre
dimanche 8 mai 2011
Vous reprendrez bien un petit film !
Et pis non, c'est "Inside Job" qui l'a obtenu...
Nous avons été choqué au visionnage de Gasland... Et bien on sort traumatisé de Inside Job...
Pour le voir en français c'est ici :
http://www.streamiz.com/video.php?id=139149
http://allostreaming.us/regarder-Inside%20Job-85771-en-streaming.html
http://www.megastreaming.ws/inside-job.html
http://leweb2zero.tv/video/mattlouf_134d7e6865367dd
http://mega-streaming.info/video/8SUK8NRRW1G2/Inside-Job-VOSTFR
Où l'on apprend, entre autre info effrayante, que la consommation de cocaine stimule les mêmes zones du cerveau que l'accumulation financière à outrance, que tous ces banksters en font une consommation effrénée au point de blanchir l'argent des cartels de drogues...
Enfin, ou l'on apprend que le système est verrouillé dès l'école et l'université ou les profs d'économies sont tous payés par la finance des banksters qui de fait tiennent tout : les politiciens du congrés, les médias et toute la filière d'enseignement de l'économie...
Je me souviens des années 80....
Le convoi planétaire partait en direction des camps...
Nous sommes bientot arrivés !
Le premier qui voit la pancarte paye sa choucroute !
dimanche 1 mai 2011
Un Premier Mai Nucléaire...
voilà une belle synthèse de ce qui se sait sur tout ça....
Fukushima/2012:
Contamination radioactive
de la chaîne alimentaire planétaire
En août 1945, alors que le Japon s’était militairement effondré, la mafia globaliste des prédateurs militaro-industriels initia la 3 ème guerre mondiale en détruisant les vies de centaines de milliers de civils Japonais en l’espace de quelques secondes. Les deux bombes atomiques, lâchées sur Hiroshima et Nagasaki, annonçaient une guerre totale et génocidaire à l’encontre de l’humanité entière avec la radioactivité comme arme de destruction massive. Le désastre nucléaire de Fukushima-Daiichi constitue une crise aiguë dans cet empoisonnement radioactif chronique de l’espèce humaine, et de toute la biosphère, qui perdure depuis 66 ans.
Aujourd’hui, sept semaines après le tsunami du 11 mars 2011, la situation des réacteurs de la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi se dégrade inexorablement. Le 28 avril, TEPCO annonçait que la radioactivité ambiante était de l’ordre de 1220 millisievert/heure, ce qui correspond à quasiment 10 millions de fois la dose radioactive artificielle admissible en France (1 millisievert/année). TEPCO, réputé pour ses mensonges outranciers depuis le début de la crise, commence à préparer le monde entier à l’éventualité, plus que probable, de son i ncapacité à contrôler cette catastrophe nucléaire en 9 mois, ainsi que son carnet de route le stipulait. Certains réacteurs sont en fusion totale (et ce, depuis le premier jour), les fuites sont permanentes, les risques d’explosion sont plus que plausibles, etc, etc. Alors que les émissions d’isotopes de césium 137, de strontium 90, d’iode 131, de plutonium 239... contaminent en permanence l’atmosphère et l’océan, la presse Occidentale, aux ordres de la mafia globaliste, qualifie la situation de stable, ou d’ailleurs ne la qualifie plutôt pas, afin de ne pas paniquer les foules et surtout de ne pas courroucer le gang nucléaire. La situation est effectivement stable: la pollution radioactive de Fukushima pourrait durer de longues année s à moins que de nouvelles explosions catastrophiques lui confèrent une tournure beaucoup plus abrupte. Le nord du Japon aurait déjà dû être évacué. A quand l’évacuation de Tokyo et de la totalité du Japon?
Aux USA, le plutonium 238 et le plutonium 239 sont apparus à partir du 18 mars: en Californie et à Hawaï, ils furent respectivement 43 fois et 11 fois plus élevés que le niveau maximal répertorié durant les 20 dernières années. En mars, l’eau de boisson de San Francisco contenait 181 fois la dose admissible d’iode 131. Le 4 avril, l’eau de pluie de Boise dans l’Idaho contenait 80 fois la dose admissible d’iode 131 ainsi que du césium 137. En début avril, le taux de césium 137 dans les sols, près de Reno dans le Nevada, était 30 fois supérieur à la dose admissible. Egalement en avril, on a retrouvé dans de très nombreuses régions des USA, du césium 134, du strontium 89, du strontium 90 et même de l’américium et du curium. Tous ces isotopes radioactifs se sont également déposés en Europe et si on ne les trouve pas, c’est qu’on ne les cherche pas.
Avant la fin de l’année 2011, tous les sols de la planète seront inexorablement contaminés par l’irradiation quotidienne et permanente des réacteurs de Fukushima. Il en sera de même pour les océans et les nappes phréatiques. C’est alors que les isotopes radioactifs de Fukushima vont entamer un long processus de bioaccumulation en remontant les divers échelons de la chaîne alimentaire. En 2012, la totalité de la chaîne alimentaire planétaire sera radioactive et donc hyper-toxique pour la santé humaine.
Mais pas de panique! L’alimentation humaine est déjà issue d’un environnement éminemment toxique et l’agriculture chimique moderne constitue, intrinsèquement, une arme de destruction massive de par sa capacité à produire, en masse, des aliments hautement empoisonnés. La mafia globaliste adore la diversité, surtout la nécro-diversité des stratégies d’empoisonnement de l’humanité et de la biosphère. La sainte trinité de leur théologie de l’annihilation se décline comme suit: Cancer, Mutation, Stérilité ou, selon la terminologie usitée dans les nombreux ouvrages du Professeur cancérologue - et lanceur d’alerte - Dominique Belpomme, des pathologies CMR, à savoir Cancérigènes, Mutagènes et Repro-toxiques.
La troisième guerre mondiale nucléaire, lancée en 1945, s’est dotée de tout un arsenal d’armes génocidaires:
- Des réacteurs nucléaires. Ils sont au nombre de 1450 et leur finalité première n’est pas de produire de l’énergie “civile” mais bien plutôt de produire du plutonium à usage militaire. On sait pertinemment, depuis les années 70, que la filière nucléaire n’est pas rentable: elle consomme plus d’énergie qu’elle n’en produit et la facture n’inclut évidemment pas les centaines de milliards de dollars, ou d’euros, liés à la gestion des accidents et des pathologies permanentes qu’elle génère. La finalité primordiale des centrales nucléaires, dans le monde entier, est de produire du plutonium et de l’uranium appauvri à des fins de destruction humaine. (Nous renvoyons les lecteurs à un rapport de la CIA, récemment présenté sur le site de Next-up, qui met parfaitement en exergue les triangulations “au plutonium” entre la France (EDF, Cogema/Areva, CEA), le Japon et les USA. Toutes les centrales nucléaires émettent en permanence de la radioactivité: en termes techniques, elles fuient. De nombreuses études le prouvent. Il n’est que d’étudier la carte des régions où le cancer du sein et le diabète prévalent aux USA: ces régions se situent toutes dans un rayon de 150 km autour d’une centrale nucléaire. Une telle étude comparative serait impossible en France pour la bonne raison qu’il n’existe pas de région qui ne soit pas sous les fuites (et donc sous la déflagration-détonation potentielle) d’une centrale nucléaire! La France est le pays le plus nucléarisé au monde grâce à une entente parfaite entre tous les gouvernements qui se sont succédés (de toutes couleurs politiques confondues) depuis 1956 et le gang nucléaire (EDF, Cogema/Areva, CEA).
- Des déchets radioactifs. Jusqu’en 1982, ce sont “officiellement” quelque 100 000 tonnes environ qui furent plongées, dans des containers en béton, au plus profond des océans. Mais, en fait, pas si profondément dans la mesure où certains réapparurent, au gré du tsunami de 2006 en Indonésie, pour venir s’échouer sur les côtes de la Somalie, provoquant la mort rapide des pécheurs de ce pays. Quel est l’impact des déchets radioactifs sur la vie marine de la planète Terre? Ni vu, ni connu. Depuis une trentaine d’années, les déchets radioactifs sont “retraités”: mais que l’on se rassure, les fonds de pension nucléaires n’ont pas été engloutis dans le plus grand hold-up financier de l’histoire humai ne qui prévaut depuis 2008. Les déchets radioactifs jouissent d’une retraite prospère et paisible dans des ogives nucléaires (il en existe encore quelques dizaines de milliers dans l’air, dans les mers et sur terre), dans le combustible MOX (contenant 7 % de plutonium) des centrales nucléaires de France et du Japon; parfois, ils se baladent sur les routes de l’Europe et parfois même encore ils se prélassent dans des piscines sur les terrasses de certains réacteurs nucléaires. En attendant la Vague!
- Les bombes à “uranium appauvri”. Elles sont qualifiées de “bombes sales des riches” par Paolo Scampa. Contrairement à ce que la sémantique pourrait laisser entendre, elles constituent des armes terrifiantes de destruction massive. L’opération “humanitaire” en Libye, orchestrée par l’OTAN et les USA - et dont la finalité est de voler le pétrole, l’or et les ressources financières du peuple Libyen (et de déstabiliser la zone) - a déjà lâché des milliers de bombes à uranium appauvri, dites de quatrième génération, sur le territoire Libyen. Les bombes à uranium appauvri ont été utilisées pour la première fois par Israël dans la guerre du Kippour (octobre 1973) contre l’Egypte. Elles furent ensuite utilisées au Liban, par Israël, et en ex-Yougoslavie, en Irak, en Afghanistan et en Libye par les USA et diverses “coalitions” Occidentales. Elles furent également utilisées par Israël à Gaza (enquête de l’association ACDN). Les bombes à uranium appauvri génèrent cancers, mutations et stérilités dans ces pays-mêmes ou chez les militaires participant aux opérations humanitaires. Ainsi, aux USA, une étude a porté sur 631 174 militaires vétérans de l’Irak: 87 590 souffrent de pathologies musculaires et osseuses, 73 154 souffrent de pathologies mentales, 67 743 souffrent de pathologies indéfinissables, 63 002 souffrent de pathologies gastro-intestina les, 61 524 souffrent de pathologies neuronales, etc, etc. Nous convions tous les promoteurs de l’atome civil et nucléaire à consulter les sites internet présentant des photos d’enfants difformes (et c’est un euphémisme) nés en Irak, en Afghanistan, à la suite des guerres humanitaires et libératrices, ou en Ukraine, à la suite de Tchernobyl. Les bombes à “uranium appauvri” libèrent des isotopes dont la demie-durée de vie est de 2,5 milliards d’années, c’est à dire qu’il en subsistera encore dans 24 milliards d’années.
- Les “essais” nucléaires. Contrairement à ce que la sémantique pourrait laisser entendre, ce sont des explosions en bonne et due forme. Depuis 1945, il y en a eu plus de 2050 dans l’atmosphère et dans le sol. La plus grosse fut de création Russe et sa puissance fut de plus de 3000 fois celle d’Hiroshima. En 1963, voyant que le Président John Kennedy souhaitait faire voter une loi interdisant ces essais atomiques dans la Nature, la clique militariste US en fit exploser 250 en une seule année, à savoir presqu’un par jour.
- L’agriculture moderne chimique. Cette agriculture recouvre la quasi totalité des pays Occidentaux et une grande partie des pays dits émergents ou en voie d’occidentalisation. Elle utilise des fertilisants de synthèse et toute une panoplie d’armes de guerre – les pesticides – destinées à lutter contre les champignons, les herbes, les insectes, les nématodes, etc, et qui sont qualifiées de fongicides, d’herbicides, d’insecticides, de nématocides, etc. Cette agriculture de guerre, ou agriculture mortifère, produit des aliments-poisons qui génèrent une pléthore de pathologies cancérigènes, mutagènes et repro-toxiques. D’ailleurs, un agronome a autrefois comparé les fertilisants agricoles, de la chimie de synthèse, à des mini bombes atomiques à usage agricole – ou plutôt, sous couvert d’usage agricole, à but génocidaire. L’agriculture moderne chimique a également recours à des semences modifiées génétiquement par Monsanto, et autres multinationales criminelles. Ces semences chimériques, et les récoltes qui en sont issues, peuvent également être considérées comme de mini-bombes qui sèment le chaos dans l’organisme humain et animal ainsi que de nombreuses études récentes l’ont prouvé.
- L’industrie chimique. En sus de produire des cocktails de poisons pour la “paysannerie”, cette industrie a créé des dizaines et des dizaines de milliers de produits chimiques dont la majorité, pour employer l’expression consacrée, sont de véritables bombes. Certains de ces produits chimiques possèdent des appellations diverses et variées: vaccins, remèdes allopathiques, adjuvants alimentaires, sucres de synthèse, etc, etc.
- Les technologies de la communication, de la prévention médicale et de la “lutte anti-terroriste”. Dans ce fourre-tout high-tech, nous pourrions mentionner la téléphonie mobile de troisième et de quatrième générations, les systèmes WIFI, les radioscopies à usage médical, les body-scanners dans les aéroports, etc. Nous renvoyons le lecteur à une étude récente du Suisse Daniel Favre sur les pathologies des abeilles issues des interférences électromagnétiques de la téléphonie.
Pour résumer cette situation génocidaire, les psychopathes déments et criminels ont recours à deux types d’opérations spéciales pour détruire le génome humain et éradiquer une grande partie de l’espèce humaine.
----- La première consiste à générer de la contamination radioactive directe par le biais de technologies nucléaires: essais nucléaires dans l’atmosphère et dans le sol, réacteurs nucléaires civils, réacteurs nucléaires militaires pour la recherche et la production de plutonium, bombes à uranium appauvri et non-gestion des déchets radio-actifs.
----- La seconde consiste à ruiner le système immunitaire par une contamination radioactive indirecte, sournoise et quotidienne: aliments-poisons, vaccins, remèdes allopathiques, téléphonie mobile, etc, etc.
Et pour couronner le tout, le Codex Alimentarius, créé en décembre 1961 sous l’égide de l’OMS et de la FAO, constitue la cerise, haute en couleur mais létale, sur le gros gâteau nucléaire. On ne peut qu’admirer le raffinement de la stratégie de la mafia globaliste: depuis 1945, le complexe militaro-industriel détruit l’humanité et la biosphère tout en mettant en place une organisation internationale, le Codex Alimentarius, qui est supposée protéger les peuples. Et que fait le Codex Alimentarius pour protéger les peuples: il prend ses ordres des multinationales biocidaires pour imposer les semences chimériques, les fertilisants de synthèse, les pesticides, etc, et pour imposer, à terme, “l’irradiation” (radioactive) de tous les aliments!
Répétons, une nouvelle fois, que le Codex Alimentarius dépend de l’OMS, une branche du machin Onusien, qui pourrait tout autant s’appeler l’Organisation pour les Mutations et la Stérilité. Rappelons que les mafieux de l’OMS ont signé un traité secret de non-agressivité, en 1959, avec les mafieux de l’AIEA (Agence Internationale de l’Energie Atomique). La capacité de nuire de l’AIEA est grandissime. Ces criminels osent encore parler de quelques dizaines de décès, ou au plus de quelques milliers, à la suite de Tchernobyl, alors que le rapport de l’Académie Nationale des Sciences, paru aux USA en novembre 2009, affirme qu’entre 1986 et 2004, ce sont 950 000 personnes qui sont décédées, dans le monde, des suites de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl. Et nous sommes en 2011.
L’imposition inexorable du Codex Alimentarius, depuis 1961, va aboutir, à très court terme (c’est demain) à la suppression pure et simple de tous les compléments alimentaires et de toutes les plantes médicinales qui permettent à l’humanité de se protéger, ou de se soigner, des effets destructeurs de la radioactivité ou de toute autre forme de pollution agricole, médicale ou industrielle. L’interdiction de ces substances entraînera, faut-il le préciser, la suppression de la majorité des alternatives médicales, et c’est bien sûr ce que souhaite l’OMS totalitaire qui tente, depuis des dizaines d’années, de criminaliser toutes ces thérapies dites alternatives. L’OMS préfère promouvoir, pour traiter le cancer qui est devenu “épidémique”, la chimiothérapie et la radioactivité: on vit une époque formidable.
La boucle est bouclée. La mafia globaliste empoisonne l’humanité et, par le biais du Nécro-Codex Alimentarius, l’empêche de se soigner avec des thérapies alternatives et naturelles.
Cela fait de nombreuses années que nous avons lancé l’alarme mais cela roupille dans les chaumières. Le Canada a déjà fait passer son décret C 51. Deux états des USA viennent de faire passer des lois criminalisant toutes les thérapies alternatives.
La semaine passée, dans l’Oregon, la FDA (le Ministère de l’agriculture et de la santé aux USA) a lancé un raid, protégé sur ses arrières par 80 policiers lourdement armés, sur une petite société en activités depuis plus de 20 ans, Maxam Nutraceutics, produisant des “compléments alimentaires” pour soigner l’autisme (devenu endémique aux USA et en Europe grâce à la pollution radioactive et aux vaccins au mercure).
Quant à l’Union Européenne, fidèle à ses fondement totalitaires et anti-démocratiques, elle se moque éperdument des peuples et roule pour les multinationales et le gang nucléaire: sous peu, elle aura fait passer à la trappe tous les compléments alimentaires et toutes les plantes médicinales, de même que toutes les préparations naturelles utilisées par les techniques d’agro-écologie. Et c’est cette même Union Européenne qui vient de multiplier les doses admissibles de radioactivité, dans les aliments, de 20 fois sous prétexte qu’il vaut mieux consommer des aliments radioactifs plutôt que de faire face à des pénuries alimentaires.
Le seuil minimal de radioactivité est une vaste escroquerie scientifique. Rappelons que, selon les experts en endocrinologie, il n’existe pas de dose minimale de contamination radioactive et que, de plus, les contaminations provoquées par de faibles doses sont souvent plus destructrices, pour le foetus humain, que les contaminations provoquées par de fortes doses.
Que faire? Dans un premier temps, mettre en place des techniques de décontamination des sols.
Après Tchernobyl, il était interdit de vendre des fromages en Autriche; cependant, on s’aperçut rapidement que les fromages produits par des agriculteurs bios utilisant, depuis de nombreuses années, des apports de roches volcaniques (les zéolites) étaient strictement exempts de radioactivité.
En effet, toutes les roches volcaniques de la famille des zéolites sont réputées pour leur capacité de bloquer les métaux lourds et les particules radioactives. Le futur de l’humanité passera par l’agriculture écologique.
En effet, la première ligne de défense, à l’encontre des métaux lourds et de la radioactivité, c’est une vie microbienne prospère dans les sols et la présence d’humus et d’oligoéléments indispensables à la nutrition harmonieuse des plantes. Cette première ligne de défense est strictement absente dans la majorité des sols Européens qui sont morts, stérilisés, oxydés et dont les produits alimentaires ne font que générer, dans le corps humain, des radicaux libres facteurs de dégénérescence.
Il existe également des techniques de décontamination ayant recours à des champignons ou à des plantes pour “fixer” la radioactivité. Il n’est pas aisé de transformer un jardin ou un champ en champignonnière mais, par contre, il est beaucoup plus facile d’y planter des espèces végétales telles que le tournesol et le chanvre/cannabis.
Certaines études ont mis en valeur que ces deux espèces végétales avaient été utilisées avec succès à la suite du désastre de Tchernobyl.
La question reste de savoir comment recycler les plantes de décontamination. On pourrait proposer d’en organiser des collectes qui seraient expédiées vers l’Elysée ou vers les sièges d’EDF ou d’Areva. Le grand avantage du chanvre/cannabis, en tant que plante décontaminante, c’est qu’il permet aussi de confectionner des cordages très solides!
Car franchement, les peuples de la Terre en auront bien besoin de ces cordes le jour où ils érigeront des Tribunaux Planétaires pour juger tous les psychopathes et sociopathes, et les crapules en tous genres, qui ont transformé cette belle planète en une poubelle toxique et radioactive.
En effet, la première phase de décontamination serait, en toute logique, une phase de décontamination du tissu social car il ne sert à rien de décontaminer la biosphère si les prédateurs militaro-industriels continuent de l’empoisonner avec entrain. La décontamination du tissu social est un impératif urgent si l’on veut aider l’espèce humaine à passer le cap de cette extinction présente.
Les prédateurs militaro-industriels doivent être neutralisés par tous les moyens imaginables. C’est alors qu’il sera possible de stopper toutes les centrales nucléaires, d’interdire l’agriculture chimique, de condamner toutes les multinationales biocidaires, d’éliminer toute la presse globaliste, de mettre fin au hold-up financier…
En bref, il nous faut promouvoir une insoumission totale aux Autorités qui fonctionnent dans un vide intégral d’autorité morale et spirituelle, le Nouvel Ordre Mondial. Lorsque leurs valets d’Etat seront neutralisés, les multinationales s’effondreront car elles ne subsistent que grâce à la corruption généralisée.
C’est cette corruption qui permet à TEPCO, au gouvernement Japonais et aux diverses Autorités Occidentales de mentir effrontément en prétendant que la situation à Fukushima est stabilisée et qu’il n’existe aucun danger radioactif pour les peuples de la planète qui sont maintenus, de force, dans l’ignorance la plus crasse.
En France, qu’en est-il des ONGs auto-déclarées anti-nucléaires? Le Réseau Sortir du Nucléaire renvoie ses lecteurs vers le New-York Times pour des infos sur le statut des “réacteurs endommagés” de Fukushima. Soyons sérieux, les réacteurs ne sont pas endommagés, ils sont détruits et il serait plus authentique d’orienter les lecteurs anglophones vers des blogs dédiés à cette problématique plutôt que vers la grande presse US.
On en viendrait presque à se demander pour qui roule le Réseau Sortir du Nucléaire depuis qu’ils en ont éjecté Stephan Lhomme qui vient de créer son propre Observatoire du Nucléaire. Quant à Greenpeace, les platitudes, sur son site, concernant Fukushima, sont pathétiques: la transcription des communiqués du gouvernement Japonais ne constitue pas de l’information, c’est de l’intox. Rappelons que Greenpeace, tout autant que le Réseau Sortir du Nucléaire, ont cautionné l’immense farce du Grenelle de l’Environnement, ce qui est déjà tout un non-programme nucléaire!
C’est en fait l’Association Next-up qui tente le plus sérieusement de présenter des informations, au jour le jour, en France.
Nous conseillons aux lecteurs, également, le site de Jean-Pierre Petit dont les dossiers techniques et scientifiques sont toujours magnifiquement étayés.
Quant à la Criirad, elle n’a pas présenté de nouvelles récentes depuis son communiqué du 12 avril. On conçoit aisément qu’il n’est pas facile pour de petites associations, sans moyens financiers, de tenter de percer le mur opaque du secret qui a été érigé autour de la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi: ce n’est pas un sarcophage de béton qui a été érigé autour des réacteurs de Fukushima, c’est un sarcophage quasi-impénétrable de mensonges et d’intox.
Qui a évoqué la forte probabilité qu’une explosion nucléaire, et non pas une explosion à l’hydrogène, a eu lieu dans le réacteur 3? Personne à part quelques physicienss ou ingénieurs nucléaires qui ne pratiquent pas la langue de bois: Leuren Moret, Arnie Gunderson, Chris Busby… Et aujourd’hui, 29 avril, le professeur Toshiso Kosako, mandaté par le gouvernement Japonais le 16 mars en tant que conseiller spécial nucléaire, vient d’annoncer sa démission, les larmes aux yeux, parce que, dit-il, «le premier ministre a ignoré les lois». Mais peut-être ne les connait-il pas?
La finalité de ce court article n’est pas de fomenter la peur ou la dépression:
-- elle est de promouvoir la mise en place de techniques de dépollution
-- et d’encourager les peuples à déclarer ouverte la chasse aux prédateurs militaro-industriels, la source toxique de tous leurs maux.
La crise de Fukushima, et la contamination subséquente de l’intégralité de la chaîne alimentaire planétaire, constituent une nouvelle invitation à oeuvrer en co-évolution avec la Terre-Mère.
Il ne reste que peu de temps.
Dominique Guillet. Le 29 avril 2011.
Depuis 1999, l’Association Kokopelli lutte pour la Libération des Semences et de l’Humus. Nous nous engageons, présentement, à faire des recherches et à établir des protocoles au bénéfice des jardiniers afin de les aider à vivre et àcontinuer de jardiner dans un monde contaminé par la radioactivité. Toutes nos fiches techniques seront présentées sur le site ou sur le blog de l’association.
Allez, nous reprendrons bien un petit peu de nucléaire...
Enfin et pourquoi parceque, c'est de là que choucroutman est parti pour revenir ici, donc,
fallait le dire et c'est dit ... Merci Fabrice !
Terre 26/04/2011 à 12h32
Pourquoi le gouvernement fait le choix d’une électricité chère et dangereuse
Par CORINNE LEPAGE Euro-députée
Vous avez voulu de l’électricité bon marché et sans risque. Vous aurez de l’électricité chère et dangereuse.
Le mythe d’une électricité bon marché et sûre s’effondre. La faute en incombe soi-disant aux énergies renouvelables et aux investissements dans la sûreté. EDF et le lobby nucléaire, à commencer par le gouvernement qui en est partie intégrante, nous prennent pour des imbéciles.
Tout d’abord, le prix de l’électricité va monter de 30%. Pourquoi? Tout simplement parce que même si les centrales sont amorties, le coût réel du nucléaire commence à apparaître au moment où EDF va devoir assumer une très légère part de l’aval du cycle (parce que le contribuable va devoir en assumer l’essentiel) et financer ses investissements: renforcement de la sécurité d’une part, construction des EPR… Dès lors, non seulement le nucléaire n’est pas bon marché mais il devient très cher, aussi cher que l’éolien. Le contribuable-consommateur français a été prié, depuis 40 ans, par une politique délibérée de faibles taxes sur le prix de l’électricité, de consommer le plus possible et en particulier de se chauffer grâce à l’électricité ce qui est une aberration.
Aujourd’hui, la quasi-totalité du parc de logement social français est équipée en chauffage électrique ce qui signifie très clairement que ce sont les ménages plus modestes qui vont devoir supporter une hausse inéluctable du prix de l’électricité sans pouvoir adapter leur comportement si ce n’est en baissant la température des logements afin de limiter la facture ! Le mensonge éhonté qui consiste donc à continuer à parler d’un nucléaire bon marché et d’ENr chères persiste alors même que toute rationalité est sortie du débat. A aucun moment, une comparaison n’a été réalisée entre le coût d’un nouveau programme nucléaire, que le lobby veut à toute force imposer, et un vrai programme d’efficacité énergétique et d’énergies renouvelables. Pour faire passer le mensonge, toutes les manipulations sont bonnes: confondre investissements dans la sûreté (qui a été négligée depuis des années) et nouveaux réacteurs, biaiser les coûts du nucléaire et des autres énergies en faisant supporter par l’usager les coûts de raccordement dès lors qu’il ne s’agit pas de nucléaire. Ou encore prétendre que la rente nucléaire appartient à EDF qui se privatise alors qu’elle appartient aux Français qui l’ont financée. Ou encore ne pas prendre en considération le fait que les centrales sont amorties même s’il faut investir dans la sûreté et qu’en conséquence le prix réel de production est de plus en plus bas. Cette circonstance avait conduit Mme Merkel à imposer aux exploitants allemands une taxe destinée à financer les ENr en contrepartie de la prolongation de la durée de vie des centrales considérées comme du bénéfice net. Rien de tel en France où EDF se livre à un véritable hold-up sur le porte-monnaie des ménages. Ou enfin, la présentation du dilemme suivant -qui n’est d’ailleurs pas offert à la réflexion des citoyens français- le nucléaire est bon marché comme aucune autre forme d’énergie viable sauf à la payer plus chère. Sortir du nucléaire serait plus cher. Et bien, non. Le calcul n’est pas fait et il est très probablement en sens contraire. Sortir du nucléaire serait économiquement avantageux, si on raisonne de manière globale.
Nous payerons cher notre nucléaire à l’avenir et en plus nous sommes en situation de risque, ce qui en augmente les coûts.
Derrière les rodomontades et les roues de paon se cache une réalité avouée par les autorités de sûreté et de radioprotection qui est un truisme pour tous les esprits dotés de bon sens élémentaire: un accident peut se produire en France reconnaît M. Lacoste, responsable de l’ASN. A Kiev, lors de la conférence des Nations Unies sur la Sécurité Nucléaire sous l’égide de l’AIEA pour les 25 ans de Tchernobyl, M. Repussard, patron de l’IRSN affirmait un risque d’accident nucléaire pour 10000 réacteurs par an. Compte tenu du parc mondial actuel, environ 500 réacteurs, cela représente un accident tous les 20 ans. La France étant dotée du 2ème parc mondial avec 58 réacteurs, son risque statistique est élevé. 19 de nos réacteurs datent des années 70, certains sont en zone sismique, d’autres confrontés à un risque d’inondation, certains cumulent les 2. Or, toutes ces centrales, par souci de rentabilité, ont recours à la sous-traitance, aux petites économies d’où une explosion du nombre d’incidents.
Oui, le choix que le gouvernent fait est celui d’une électricité chère et dangereuse et à coûts exponentiels.
Tchernobyl ne fait que commencer
A l’heure où tous les regards se tournent (ou plutôt devraient se tourner vers Fukushima si la machine à désinformer n’étaient pas en doute), les 25 ans de Tchernobyl nous rappellent à la réalité. Certes, le lobby nucléaire mondial, mené par l’AIEA, a réuni une conférence à Kiev pour se congratuler de la qualité des efforts consentis depuis Tchernobyl en terme de transparence (sic!) et de sécurité (resic!!).
Certes, au cours de cette conférence, l’OMS dont la faiblesse insigne, voire l’inexistence est patente, a admis 10 000 victimes (après avoir défendu durant des années la thèse de 42 morts, puis de 4 000) et demandé des fonds pour faire des études sur les cohortes de liquidateurs qu’elle a ignorées pendant 25 ans, jugeant utile des études sur les effets à long terme de la catastrophe de Tchernobyl. Mais l’essentiel n’est évidemment pas là, si ce n’est le sentiment pour les auditeurs de la conférence dont j’étais, d’assister à un théâtre d’ombres de personnages hors des réalités, dont la confiance absolue en eux même et en leur technologie n’avait d’égale que leur arrogance et leur mépris du reste de l’Humanité.
Cet état d’esprit est d’autant plus abominable voire criminel que « Tchernobyl » ne fait que commencer.
Durant ces 25 ans, que s’est-il passé? L’héroïsme volontaire ou imposé des centaines de milliers de liquidateurs est une ineptie sanitaire : ils ont construit puis entretenu et solidifié ce qu’il est convenu d’appeler le sarcophage, coquille rouillée et perméable du réacteur numéro 4 et de ses 30 tonnes de combustibles, enfouis sous la structure et pour lesquels Framatome a échoué, au début des années 2000 à réaliser, du fait d’une erreur de calcul, les conditions de stockage dans un nouveau bâtiment (ISF 2), bloc de béton, abandonné à quelques centaines de mètres de la centrale. Des millions d’euros dépensés par les donateurs, au profit de leurs propres sociétés, sans compter les pertes en ligne pour le chantier : c’est une gabegie. Et surtout, une bataille a été gagnée à ce jour par le lobby pour rendre impossible l’évaluation reconnue internationalement des victimes de Tchernobyl.
Tout ceci devait conduire à permettre, au bout de 25 ans, d’affirmer que la question était réglée et que la situation était sous contrôle. Il n’en est rien.
Les conséquences sanitaires actuelles
Commençons par le drame des populations : pas seulement de celui des familles vivant dans le rayon de 30km qui ont été exilées, qui ont tout perdu et dont beaucoup ont été irradiées en raison de leur éloignement tardif ; mais surtout des populations vivant dans les zones contaminées, soit 10% du territoire de l’Ukraine auquel s’ajoute celui de la Biélorussie et la Russie. Or, le drame est que non seulement les adultes souffrent de maladies cardiovasculaires qui ont augmenté d’un facteur 4 mais aussi de cancers avec un taux de croissance de 500% dans la région de Gomel (Biélorussie). Le taux d’incidence augmente avec le temps et les invalides issus de Tchernobyl sont plus nombreux aujourd’hui parmi la population vivant dans les territoires contaminés que parmi les liquidateurs (dont il est vrai beaucoup sont morts). Mais le plus grave est ce que le Professeur Bandajevsky décrit comme un «génocide lent». D’une part, la baisse démographique dans tous les territoires contaminés. Une baisse de natalité de 9,3 pour mille et une hausse de mortalité de 14,2 pour mille a conduit à une baisse démographique de 4,9 pour mille en 1999 pour monter jusqu’à 5,9 en 2002 et 5,2 en 2005. Entre 1990 et 1999, le taux de mortalité a augmenté de 32%. Entre 1994 et 2008, la population de Biélorussie a diminué de 600 000 personnes soit 6% de la population. En Ukraine, la baisse a été encore plus importante: 5 400 000 personnes soit 8% de la population.
Cette baisse démographique s’accompagne d‘une situation alarmante de la santé des enfants. La morbidité pédiatrique a augmenté dans la région de Gomel de 100% entre 1986 et 1996. Le nombre de tumeurs chez les enfants a été multiplié par 2 entre 2001 et 2008. Dans le district d’Ivankov où je me suis rendue pour visiter l’hôpital, sur 5600 enfants (nés entre 1993 et 2011, soit bien après Tchernobyl) seuls 40 n’ont pas le statut de victimes de Tchernobyl. Le taux de malades ne cesse de progresser en raison en particulier d’une alimentation contaminée en Cesium 137 et en Strontium. En conséquence, 25 ans après la catastrophe, les conséquences sanitaires continuent non seulement à se manifester mais à croître pour ces enfants.
La contamination de longue durée des territoires
Une explication est avancée par l’équipe du professeur Bandajevsky (qui a fait 5 ans de goulag pour cette raison): la contamination la plus grave ne vient pas de l’iode 131 mais du Cesium 137 dont la durée de vie est beaucoup plus longue. 23% du territoire biélorusse reste aujourd’hui contaminé (plus de 37Bq/m2) et y vivent 1,4 million de personnes dont 200 000 enfants; les chiffres correspondants pour l’Ukraine sont 10% du territoire et 2,2M de personnes dont 500 000 enfants. La période du Cesium 137 est de 30 ans alors que celle de l’iode 131 est de…8 jours. On comprend l’empressement de la communauté nucléaire à refuser de prendre en considération l’importance du Cesium 137 et du Strontium alors que les corrélations entre ces éléments, leurs différentes incidences pathologiques et les zones contaminées sont clairement établies. Et on passe sous silence les zones interdites dont la spectaculaire ville de Pripyat, image de fin du monde humain, dans laquelle une nature post–accident nucléaire envahit les fragiles constructions humaines… Les autorités ukrainiennes ont pour leur part publié un atlas qui fait très clairement apparaître la persistance, sans grand changement des zones contaminées, au cesium, au strontium et au plutonium.
Le risque permanent de la centrale elle-même La réunion des donateurs visait à remettre la main à la poche à hauteur de plus de 2 mds d’euros pour refaire un nouveau sarcophage; il est vrai que 25 ans après l’explosion, la situation est très préoccupante. Outre que le risque de séisme est permanent -le dernier tremblement de terre date de 1991 avec une magnitude plus de 5 sur l’échelle de Richter- la durée de vie du sarcophage (30 ans) arrive à son terme avec un risque de désintégration. Une poussière radioactive, sous forme d’aérosols s’est formée dans le sarcophage et diffuse de plus en plus largement à l’extérieur en raison de la porosité de l’ouvrage. A l’intérieur, la présence de 600 kgs d’uranium 235 et 70kgs de plutonium 239 pourraient créer, selon certains spécialistes, un risque de réaction en chaîne incontrôlée et donc de nouvelles explosions à laquelle le sarcophage vieillissant ne résisterait pas. Il en va de même des 15 tonnes de combustibles nucléaires, enfouis sous le réacteur, dans des gaines dont on ignore tout du degré de corrosion et de destruction. Or, le nouveau projet de shelter ne s’attaque en rien à ce sujet qui est le plus fondamental et présente un risque permanent.
En conclusion, 25 ans après l’explosion, rien n’est vraiment réglé, même si le « business as usual » et la banalisation sont devenus les maitres mots de l’industrie nucléaire mondiale. On revient de Tchernobyl, d‘Ivankov et de Pripyat avec la conviction que non seulement l’industrie nucléaire ne maîtrise rien, mais qu’elle porte en elle une vision mortifère, un choix délibéré d’accepter la destruction des humains au nom d’une vision prométhéenne de l’humanité.
samedi 26 février 2011
La choucroute de Nantes est à Marseille !
Alors Oui et 3 fios oui, il est tant de rétablir ce qui se voit comme le nez au milieu de la figure bien laide du capitalisme pleutre et avide et menteur qui s'iamgine encore régner à jamais !
Comptons les voix du ps à droite et les veaux seront bien gardés, comme les moutons parce que c'est bien connu, une choucroute sans mouton c'est comme un ministre de sarko sans conflit d'intérêt : ca n'existe pas !
aller, j'enfourche ma fourmi de dix huit mêtre et je m'en vais leur péter la gueule à tous ces menteurs qui y en a trop marre dabord et encore !
La Choucroute de Marseille
du lard, des saucisses, des pommes de terre, du jarret et du chou & DES ZAMIS !!!
Le site : La choucroute de Marseille
choucroute.marseille@gmail.com
***
photo Vincent Lucas
Les événements qui se déroulent actuellement dans le Maghreb empêchent les oligarchies de dormir sur leurs deux oreilles.
L’oligarchie française, soucieuse de retrouver le sommeil, enjoint le Parti Socialiste d’occuper tous les pouvoirs pour ainsi couper l’herbe sous le pied de toute volonté revendicative des français.
La Choucroute de Marseille, toujours sur le qui-vive pour démasquer les manœuvres de l’oligarchie française, lance une pétition pour obtenir des instituts de sondage, des journalistes politiques et des commentateurs politiques que les prochains résultats électoraux du Parti Socialiste soient comptabilisés à la droite de l’échiquier politique.
Pour signer la pétition : cliquez ICI
Premiers signataires : Dominique Straus-Khan (directeur du FMI), Pascal Lamy (directeur général de l’OMC), Manuel Valls, Jean-Christophe Cambadélis…
mardi 2 novembre 2010
Télénantes la réponse type : "Un jour ne ne lirons plus QUE Le Figaro"
Si vous avez suivi l'actualité de l'audiovisuel local, vous savez sans doute que Nantes 7 a déposé son bilan et a été repris par Télénantes il y a 1 an, après décision du Tribunal de Commerce de Nantes.
Cependant, les 2 chaînes n'ont pas pu fusionner juridiquement. Elles continuent de partager la fréquence (canal 21 sur la TNT) et elles ont gardé leur nom et leur habillage respectifs. Cette situation n'est pas des plus faciles à vivre et à expliquer, nous en sommes conscients. C'est pourquoi nous sommes actuellement engagés dans une procédure de création d'une antenne locale unique auprès du Conseil Supérieur de l'Audiovisuel (CSA).
Cela signifiera une seule équipe opérationnelle totalement dédiée à une nouvelle grille de programmes nous l'espérons plus cohérente.
En attendant l'aboutissement de cette démarche, nous essayons d'assurer une complémentarité des programmes de Télénantes et Nantes 7. Les récents mouvements sociaux contre la réforme des retraites ont ainsi été largement couverts pas nos reporters dans les journaux du soir (18h45) et les responsables syndicaux locaux ont pu s'exprimer et donner leur point de vue sur notre plateau (voir nantes7.fr).
Par ailleurs l'émission "ça vient de la rue" est un magazine qui existe depuis 3 ans sur Télénantes et qui s'intéresse avant tout aux cultures urbaines dans les différents quartiers de la métropole Nantes-Saint-Nazaire.
Nous vous remercions de votre attention pour notre travail et nous vous prions de croire à toute notre vigilance quant au respect de nos missions de service public.
Bien cordialement
Yannick Lainé
Rédacteur en chef adjoint Télénantes
Julien Herpin
Rédacteur en chef adjoint Nantes 7
samedi 30 octobre 2010
Le retour de "ça vient de la rue" sur TéléNantes....
A l'heure où la France et où la ville de Nantes descends dans la rue pour réclamer une concertation sur une réforme des retraites imposée avec une brutalité inouie... A l'heure ou 70% des français et combien de nantais se rangent aux cotés des mécontents...
A l'heure où l'ampleur du mouvement social qui déferle en France et où le moindre observateur y reconnait un malaise profond a l'égard de nos représentants politique...
A l'heure où les français et les nantais bougent pour tenter d'y voir plus clair dans la société dans laquelle nous vivons...
A cette heure là télénantes fait la promotion d'une émission intitulée "ça vient de la rue" sous la forme incroyable de "le retour de ça vient de la rue" Je cite "un sommaire : focus sur "La cour des grands", le dernier film des Quais de la Mémoire ; rencontre avec Nabi Bourachid et Alphonse Faye de l'association sportive et culturelle des Dervallières ; portrait d'Asma, jeune bénévole de l'association "Fête le mur" et une démo de danse avec les "Super Misfits". Cliquez pour voir la vidéo."
Sans un mot nulle part au sujet de ce qui se passe et vient de se passer dans la rue.
C'est un scandale ! Un scandale qu'une télévision qui se revendique du service public soit incapable de tourner des sujets qui donne à comprendre ce qui se passe dans notre ville à notre porte. C'est un scandale que cette équipe de journalistes, de techniciens soient incapable de suivre et de nous donner à lire ce qui se passe chez nous.
C'est un scandale que la mairie, les élus locaux, les syndicats et les collectifs ne s'y expriment pas, c'est un scandale que personne ne relève ce scandale. C'est un scandale, alors que Donges fait partie de la grande métropole européenne Nantes Saint Nazaire il n'y ait pas un vrai suivi de ce qui s'est passé là bas devant la rafinnerie...
C'était déjà un scandale que cette équipe, pourtant payée sur nos deniers public, se retrouve au bord de faire grève courant septembre pour des raisons de management d'une médiocrité insondable, le scandale continu…
Tout va très bien Madame la Marquise (air connu)…
Que TF1 au logo de gendarmerie assure la promotion du Chateau, cela semble normal tellement c'est énorme depuis longtemps, que France Inter soit détruite par deux patrons nommés par le président c'était prévu…
Mais que ici règne le silence assourdissant des socialistes alors que la ville est dans les rues, que personne dans cette rédaction soit capable de faire un travail de fond sur le sujet c'est proprement, plutôt salement, scandaleux….
Ici à Nantes qui se plait à rappeler jusqu'au conseil général son passé de Nantes la rouge, ici télénantes sert la soupe à l'Union des Menteurs Professionnels…
Personne n'en sortira grandi et même si du coté de la rédaction et de la direction chacun reste les yeux rivés sur sa fiche de paye en se disant pourvu que ça dure pour ne pas voir le reste, personne ne peux échapper au silence assourdissant de l'antenne…
Service public ? Vous êtes du services public ? Mais si vous dites ça à un cheval de bois, il va vous donner un coup de pied...
Notre démocratie malade de la médiocrité de nos médias...
jeudi 8 juillet 2010
Les documentaires pour voir le monde !
Oui, Sire, mais le Prince n'est pas mort : il bande encore !
A l'heure de l'été 2010, du feuilleton de l'affaire Sarkozy-Bettencourt-Woerthe, notre Watergate à nous qui se déroule sous les rires du monde entier, on peut pas s'empêcher de continuer de regarder le monde...
Et pour voir le monde, rien de mieux que le regard et le travail des réalisteurs et réalisatrices de documentaire...
Oui, faire une bonne choucroute c'est d'abord des amis et de bons produits bio (pas de ceux qui ont fait 10 000 km en avion !) mais bien ceux qui viennent de l' AMAP du coin...
Pour faire une bonne choucroute il faut aussi de bons sujets de conversation... Alors vive le documentaire..
Une info pour les deux pelés et cinq tondu (dont je suis) qui passent sur ce blog :
Documentaire
Du grand spectacle !
5 juillet 2010
Voir, du plus loin possible, à bord de l’ISS la station spatiale internationale, comment tourne notre terre. C'est possible grâce à un formidable documentaire
Les 90 minutes nécessaires à la rotation de la station orbitale sont découpées à partir du méridien d’origine Greenwich 0. L’Islande, l’Amazonie, l’Ethiopie, berceau de l’humanité et bien d’autres merveilles de cette planète soumise à des phénomènes naturels exacerbés par les activités humaines, les détritus de plastique rejetés dans les océans, les marchés financiers qui privilégient les gains à tout prix… En l’espace de 90 minutes ce sont 273 900 déchets qui sont rejetés, quelque 350 000 tonnes de minerai de fer qui sont arrachées à la terre en Australie et 45 866 tonnes de charbon qui sont brûlées en Chine. Il s'en passe des choses en 90 minutes sans que nous le sachions toujours. Le tour du monde en 90 minutes réalisé par Nick Watts sera diffusé sur France 5 le 1er août à 20h35 et le 8 août à 16h3
ensuite ce qu'il faut voir c'est ça :
et puis ça :
et puis ça...
et pour finir, parce que nous sommes aussi des obsédés sexuels on a vu ça et on resiste pas au plaisir de vous le faire partager ce monument de pornographie américaine :
allez bonnes choucroute !
samedi 27 mars 2010
Enterrement
Faute de combattants le combat cessa.
Nous ne nous empecherons pas de faire quelques actions aux beaux jours mais en petit comité comme un petitcassouletbreton, nous verrons bien....
Le cirque médiatique demeure fidele à lui même, des grandes bourgeoises come badinter qui occupent le terrain alors que les centres du planning familial sont plus que menacés, que la condition de la femme dans le code du travail est un désastre... c'est comme sarko qui dit qu'il va s'occuper des femmes en interdisant la burqa alors que jamais la situation des femmes ne fut aussi difficile : surmedicalisation de la maternité, destruction de l'hopital public, flexibilité du travail meme le dimanche dans des emplois merdiques....
Ah ca me fait penser à martin hirsh qui au detour d'une interview au journal le monde suite à son depart avoue que les membres du gouvernement vivent en vase clos (ce n'est pas son expression, mais l'idée est celle çi)... Ca fait peur....
Le seul chantier que les socialistes pourraient mettre en place une fois au pouvoir en 2012 sera celui de la decentralisation budgetaire effective entre autres detricotage de bouclier fiscal et autres cadeaux aux lobbys et industriels de tout poil.... Mais ils ne le feront pas, persuadés comme la masse que de toute façon eux savent ce qui est bon pour les autres, eux qui decident savent mieux que les gens qui font et vivent les choses au quotidien.... CA me fait penser à anne hidalgo, elle aussi dans sa bulle de grande bourgeoise, persuadé de savoir les choses mieux que les gens qui les font...
Ah, un peuple libre ? un peuple qui saurait ce qui est bon pour lui, mais bon sang c'était deja le voeux de diderot et d'alembert avec leur encyclopedie...
L'intolérance a encore de beaux jours devant elle et avec elle la bétise et toutes les graines de fascisme ordinaire...
Le non sens, la novlangue a tous les etages, le tout et son contraire amalgamé à l'absence de vision...
Personne de politique pour remettre en cause le "celui qui ne travaille pas ne mange pas"
Personne de politique pour remettre la finance à sa place
Personne de politique pour dire ce qui se tait : la police politique, le cumul des mandats, les pots de vin, les deficits en trompe l'oeil, la volonté de controle de l'internet, la schizophrénie d'une société qui enseigne la liberté et la responsabilité dans un monde soumis à l'exploitation de l'homme par l'homme...
Personne de politique pour faire confiance aux gens en leur permettant d'expérimenter
Personne de politique pour se libérer des lobbys
Personne de politique pour faire un peu de pédagogie politique et defendre le bien commun
Personne de politique pour défendre le bien social, dont les patrons abusent à qui mieux mieux...
Personne de politique...
Le chaos. Comme le chaos chimique d'une bonne choucroute en préparation...
Personne.
ouf.
quand est qu'on mange ?
lundi 15 mars 2010
NO - SARKO DAY !!! On prépare
Un point sur le No Sarkozy Day à J - 14
> Une nouvelle conférence de presse s'et déroulée à Paris jeudi dernier. Comme la première fois, la presse s'est très peu mobilisée. Cependant, un article est paru sur Libération.fr
> Des images de cette conférence de presse seront disponibles en début de semaine sur notre site.
>
>
Le No Sarkozy Day sort de la toile : du concret !
> Le No Sarkozy Day est déjà sur le terrain !
> Une soixantaine d'équipes départementales préparent l'évènement du 27 mars 2010, première journée d'action contre la politique néfaste et désastreuse de Sarkozy et son gouvernement.
> Ce sont plus de 1200 citoyens français motivés qui se réunissent, partagent leurs ressources et leur expérience, en contact avec le milieu associatif, les radios locales, et avec nos concitoyens en allant à leur rencontres, lors de distributions de tracts dans les rues des grandes villes.
> La démonstration de sympathie spontanée des personnes rencontrées est forte : la mobilisation sera forte le 27 mars, tous milieus confondus, en dehors de toute influence politique ou syndicale.
> Le No Sarkozy Day, ce sera plus de 100 rassemblements et manifestations dans toute la France, et à l'étranger, devant les ambassades de France : en Espagne, en Grande-Bretagne, en Suisse, en Belgique, au Vénézuela, au Canada...
>
>
Le No Sarkozy Day : tous concernés.
> Vous soutenez ce rassemblement citoyen et populaire : participez vous aussi à rassembler autour de vous vos proches, collègues, parents et amis !
> Des tracts et affiches sont disponibles au téléchargement sur http://no-sarkozy-day.fr. Ces documents sont personnalisables, pour vous permettre d'indiquer le lieu précis du rendez-vous dans votre ville, dans votre département.
>
> vous souhaiter faire imprimer tracts et affiches en grand nonmbre rapidement, près de chez vous ? Contactez nous, en indiquant votre département, le lieu du rendez vous pour le 27 mars, ainsi que vos coordonnées téléphoniques en nous écrivant à contact@no-sarkozy-day.fr.
>
> Vous souhaitez vous aussi participer à la préparation du No Sarkozy Day ?
> Faites vous connaitre rapidement en écrivant, avec vos coordonnées, à coordination@no-sarkozy-day.fr
>
> Bon et agréable Week End à toutes et tous
mercredi 27 janvier 2010
Danger...
Niark Niark Niark
Ils croient qu'on va laissez faire !!!! HAW HAW HAW HAW (Très grand éclat de RIRE !)
Niark....
Considérons mieux cette histoire de suffrage universel comme on considère la juste fermentation du chou et de l'oie....
Niark Niark...
YA BON CHOUCROUTE....
lundi 25 janvier 2010
VINCENT PEILLON A LA RECHERCHE DU LIEN SOCIAL
Même s'ils ont passé un peu vite les aspects majeurs des questions (la laicité de Buisson recupère la spiritualité, l'aspiration au bien, au beau au vrai, comme une nouvelle religion qui s'integre à la republique alors que Comte Sponville affirme bien que la republique n'a pas à se mêler de ça)
Bref, passionnant à podcaster sur le site de France Culture ici,
Là ou J'ai trouvé cela très choucroute finalement c'est que Peillon, tout PS perdu qu'il est, finalement cherche le lien social disparu, un ciment, que dis je un ferment, une choucroute pour rassembler nous autres...
Ah ah aha ah.... Ben oui si y 'avait pas eu d'utopistes ont seraient encore à l'age des cavernes...
mais bon...
j'ai une recette pour que les riches soient riches et que les pauvres cessent d'emmerder les riches... On laisse faire les premiers et on traque les seconds en leur expliquant que les premiers sont ceux qui sont servis par les politiques... On joue la carte de la représentation d'un monde injuste, on met la police dans la rue avec des quotas de gens à arrêter, on gave les pauvres de peur et de craintes en tout genre en leur annonçant la desctruction du bien commun à tous les étages... Et comme cela, ni les jeunes, ni les moins jeunes iront voter... Il n'y aura plus que les vieux pauvres pour voter, quelques idealistes qui ne regardent pas la télé et les riches, bien sur parce que eux ils savent pour qui voter....
Mais bon, le lien social perdu.... mais 'tain c'est au dix neuvième qu'il a été perdu à coup de baïonnettes dans bide des ouvrières enceintes !.... A tous les coups, à tous les coups le nouveau est tombé sur la réprésssion.... Louise Michel au secours !!!
Alors Peillon peut bien fantasmer avec Buisson.... Les enjeux de la république ne sont pas là... Mais dans un projet....
Pourquoi pas commencer par rendre le vote citoyen obligatoire pour toutes et tous de plus de 18 ans et des immigrés et des étrangers !
On va pas finir comme aux USA où les riches arrosent les candidats de partout et où le congrès ne se renouvelle PAS....
et pendant ce temps le PS dit qu'il faut travailler peut etre jusqu'à 61.... Mais c'est à pleurer !!!
Au moins peillon il cherche un truc plutot que de ronronnner....
dimanche 24 janvier 2010
Camus again...
J'ai encore écrit des voeux de bonne année que je n'enverrais pas, ma copine les a lus et son silence à ce sujet depuis une semaine en dit long...
Tant pis...
Allez sert moi à boire... En attendant....
J'ai fini ce petit chef d'oeuvre de estelle nollet.... Oui petit chef d'oeuvre de petites choses simples et douloureuses comme la vie.... Il est beau son livre et si vous connaissez des personnes qui aiment beaucoup boire et boire beaucoup, ben faut leur offrir, le reste on s'en fout....
Nan je rigole... Y a tellement de trucs dont on se fout pas... Le sourire et le sourire des amis...
Bon je reprendrais bien un petit whisky... Et pourquoi petit ?
et on a plus de Gewurztraminer ?
Ben non, on a tout bu....
Ah, ben cette année... Hein...Ben j'en donne pas cher , hein cré non de dieu d'enfoiré de dieu qu'est même pas capable de payer son coup quand on imagine qu'il est existe, bien la preuve qu'on peut mourir de soif...
samedi 16 janvier 2010
Un peu de littérature... estelle nollet et ses rats kangourous
C'est ce que je lis en ce moment et à l'inverse de la route je l'economise... donc j'en lis un peu quand je peux, je sais nez enmoins que je l'aurais fini bientot et zut j'aime pas les trucs qui finissent... mais bon comme dit cette femme la vie c'est resister au chaos...
Bon il se trouve que j'ai entendu un samedi que j'etais dans ma voiture cette emission de france inter des radio francophones que j'aime sinon j'écoute les cd (tosca)... Et pis y a cette fille qui parle de son livre ou plutot des personnages de son livre qui sont tout loufoques comme j'aime et qui l'air de pas y toucher exprime une vraie tendresse pour ses personnages cabossés de la vie... Deja ça me touche...
Et pis ce livre, son titre est improbable comme le talent de son auteur : "on ne boit pas les rats-kangourou" a été lu par tous les correspondants francophones de l'émission et là de la suisse au quebec en passnt par la belgique tout le monde felicite ce premier roman... Et moi il me reste cette phrase : vivre c'est resister au chaos et cette galerie de personnages incroyable du coup j'ai commander le livre sur amazon et du coup, bravo voilà, je ne peux que le recommander paske après Camus et son monde absurde et mon plaisir de boire, oui oui, je prends un plaisir tel que j'ai envie de vous de vous le faire partager...
Bon ma copine lis un de mes cadeaux : transgression (roman pakistanais qui m'appelle très fort aussi) pendant que je savoure "il ne faut pas boire les rats kangourou"... Voilà p'tet que je vous en parlerais encore et encore...
Bon après avoir chialer comme un gosse à la fin de la route je fus surpris de lire sur le livre de estelle nollet que l'editeur (albin michel) avait trouvé une correpondance avec la route... Oui y a de ça, c'en est dirait on en pensant aux tontons flingueurs... Mais la vie est ainsi et je me ressert un verre de cette incongruité pourtant delicieuse un whisky français dénommé galleg avec un dolmen sur l'etiquette... Oui incongruité totale vu que les dolmens sont bretons dans ma tête... Oui, mais non c'est que dans ma tête paske ma copine qui est de Toulouse Ohh Toulouse mon pays ! me confirme qu'il y des dolmens dans l'aveyron et que même ils ont plus beaux que les bretons vu qu'ils sont gravés (elle connait pas encore bien la bretagne mais je m'y colle).. Et en alsace y'en a des dolmens ? et en provence ? bref...
On ne boit pas les rats kangourous...
cherchez pas sur le web puisque l'interview faite de estelle nollet par albin michel sur youtube est une merde faite par un journaliste sans culture ni sensibilité (heureusement que XXI existe sinon on en ferait une généralité sur la bétise des journaleux confirmée par la fabrique des petits soldats) qui aurait mieux fait de se bourrer la gueule avant de parler pour ne rien dire ni rien savoir, albin michel paye ce mec >?> j'arrive pas y croire et pourtant.... Ah...
la beauté est dans l'oeil de celui qui regarde c'est ce qui me permet de survivre...
Bref, elle est gentille cette estelle de pas envoyer se faire foutre ce commercial de base de l'edition esclave sans connaissance ni consentement (l'idée de la liberté disparue voilà la vraie liberté : 1984 BigBrother) de ses actionnaires qui s'en foutent de lire ou pas tant que ça rapporte !
oui ca me fait chier de payer albin michel pour cette médiocrité de promotion qui leur fait honte mais cela me plait de payer cette fille pour son texte genial et beau !..
Quand est ce que je pourrais la payer en direct à la mesure du plaisir de vivre qu'elle m'apporte ?
Mardi Gras !
dimanche 10 janvier 2010
Vous reprendrez bien un peu de Morin ?
un texte d'Edgar Morin qu'il fait bon de lire pour les années 10 et les suivantes :
Bon, certes on aime pas trop la Voie avec un V majuscules et encore moins les religion comme aide ou point de depart d'un monde nouveau (c'est clair que ca n'a rien à voir avec le choucroute)... Mais pour les 5 raisons d'espérer : bien sur que d'accord evidement même que !
Point de vue
Eloge de la métamorphose, par Edgar Morin
LE MONDE | 09.01.10 | 13h08 • Mis à jour le 10.01.10 | 12h20
Quand un système est incapable de traiter ses problèmes vitaux, il se dégrade, se désintègre ou alors il est capable de susciter un meta-système à même de traiter ses problèmes : il se métamorphose. Le système Terre est incapable de s'organiser pour traiter ses problèmes vitaux : périls nucléaires qui s'aggravent avec la dissémination et peut-être la privatisation de l'arme atomique ; dégradation de la biosphère ; économie mondiale sans vraie régulation ; retour des famines ; conflits ethno-politico-religieux tendant à se développer en guerres de civilisation.
L'amplification et l'accélération de tous ces processus peuvent être considérées comme le déchaînement d'un formidable feed-back négatif, processus par lequel se désintègre irrémédiablement un système.
Le probable est la désintégration. L'improbable mais possible est la métamorphose. Qu'est-ce qu'une métamorphose ? Nous en voyons d'innombrables exemples dans le règne animal. La chenille qui s'enferme dans une chrysalide commence alors un processus à la fois d'autodestruction et d'autoreconstruction, selon une organisation et une forme de papillon, autre que la chenille, tout en demeurant le même. La naissance de la vie peut être conçue comme la métamorphose d'une organisation physico-chimique, qui, arrivée à un point de saturation, a créé la méta-organisation vivante, laquelle, tout en comportant les mêmes constituants physico-chimiques, a produit des qualités nouvelles.
La formation des sociétés historiques, au Moyen-Orient, en Inde, en Chine, au Mexique, au Pérou constitue une métamorphose à partir d'un agrégat de sociétés archaïques de chasseurs-cueilleurs, qui a produit les villes, l'Etat, les classes sociales, la spécialisation du travail, les grandes religions, l'architecture, les arts, la littérature, la philosophie. Et cela aussi pour le pire : la guerre, l'esclavage.
A partir du XXIe siècle se pose le problème de la métamorphose des sociétés historiques en une société-monde d'un type nouveau, qui engloberait les Etats-nations sans les supprimer. Car la poursuite de l'histoire, c'est-à-dire des guerres, par des Etats disposant des armes
d'anéantissement, conduit à la quasi-destruction de l'humanité. Alors que, pour Fukuyama, les capacités créatrices de l'évolution humaine sont épuisées avec la démocratie représentative et l'économie libérale, nous devons penser qu'au contraire c'est l'histoire qui est épuisée et non les capacités créatrices de l'humanité.
L'idée de métamorphose, plus riche que l'idée de révolution, en garde la radicalité transformatrice, mais la lie à la conservation (de la vie, de l'héritage des cultures). Pour aller vers la métamorphose, comment changer de voie ? Mais s'il semble possible d'en corriger certains maux, il est impossible de même freiner le déferlement techno-scientifico-économico-civilisationnel qui conduit la planète aux désastres. Et pourtant l'Histoire humaine a souvent changé de voie.
Tout commence, toujours, par une innovation, un nouveau message déviant, marginal, modeste, souvent invisible aux contemporains. Ainsi ont commencé les grandes religions : bouddhisme, christianisme, islam. Le capitalisme se développa en parasite des sociétés féodales pour finalement prendre son essor et, avec l'aide des royautés, les désintégrer.
La science moderne s'est formée à partir de quelques esprits déviants dispersés, Galilée, Bacon, Descartes, puis créa ses réseaux et ses associations, s'introduisit dans les universités au XIXe siècle, puis au XXe siècle dans les économies et les Etats pour devenir l'un des quatre puissants moteurs du vaisseau spatial Terre. Le socialisme est né dans quelques esprits autodidactes et marginalisés au XIXe siècle pour devenir une formidable force historique au XXe. Aujourd'hui, tout est à repenser. Tout est à recommencer.
Tout en fait a recommencé, mais sans qu'on le sache. Nous en sommes au stade de commencements, modestes, invisibles, marginaux, dispersés. Car il existe déjà, sur tous les continents, un bouillonnement créatif, une multitude d'initiatives locales, dans le sens de la régénération économique, ou sociale, ou politique, ou cognitive, ou éducationnelle, ou éthique, ou de la réforme de vie.
Ces initiatives ne se connaissent pas les unes les autres, nulle administration ne les dénombre, nul parti n'en prend connaissance. Mais elles sont le vivier du futur. Il s'agit de les reconnaître, de les recenser, de les collationner, de les répertorier, et de les conjuguer en une pluralité de chemins réformateurs. Ce sont ces voies multiples qui pourront, en se développant conjointement, se conjuguer pour former la voie nouvelle, laquelle nous mènerait vers l'encore invisible et inconcevable métamorphose. Pour élaborer les voies qui se rejoindront dans la Voie, il nous faut nous dégager d'alternatives bornées, auxquelles nous contraint le monde de connaissance et de pensée hégémoniques. Ainsi il faut à la fois mondialiser et démondialiser, croître et décroître, développer et envelopper.
L'orientation mondialisation/démon-dialisation signifie que, s'il faut multiplier les processus de communication et de planétarisation culturelles, s'il faut que se constitue une conscience de "Terre-patrie", il faut aussi promouvoir, de façon démondialisante, l'alimentation de proximité, les artisanats de proximité, les commerces de proximité, le maraîchage périurbain, les communautés locales et régionales.
L'orientation "croissance/décroissan-ce" signifie qu'il faut faire croître les services, les énergies vertes, les transports publics, l'économie plurielle dont l'économie sociale et solidaire, les aménagements d'humanisation des mégapoles, les agricultures et élevages fermiers et biologiques, mais décroître les intoxications consommationnistes, la nourriture industrialisée, la production d'objets jetables et non réparables, le trafic automobile, le trafic camion (au profit du ferroutage).
L'orientation développement/envelop-pement signifie que l'objectif n'est plus fondamentalement le développement des biens matériels, de l'efficacité, de la rentabilité, du calculable, il est aussi le retour de chacun sur ses besoins intérieurs, le grand retour à la vie intérieure et au primat de la compréhension d'autrui, de l'amour et de l'amitié.
Il ne suffit plus de dénoncer. Il nous faut maintenant énoncer. Il ne suffit pas de rappeler l'urgence. Il faut savoir aussi commencer par définir les voies qui conduiraient à la Voie. Ce à quoi nous essayons de contribuer. Quelles sont les raisons d'espérer ? Nous pouvons formuler cinq principes d'espérance.
1. Le surgissement de l'improbable. Ainsi la résistance victorieuse par deux fois de la petite Athènes à la formidable puissance perse, cinq siècles avant notre ère, fut hautement improbable et permit la naissance de la démocratie et celle de la philosophie. De même fut inattendue la congélation de l'offensive allemande devant Moscou en automne 1941, puis improbable la contre-offensive victorieuse de Joukov commencée le 5 décembre, et suivie le 8 décembre par l'attaque de Pearl Harbor qui fit entrer les Etats-Unis dans la guerre mondiale.
2. Les vertus génératrices/créatrices inhérentes à l'humanité. De même qu'il existe dans tout organisme humain adulte des cellules souches dotées des aptitudes polyvalentes (totipotentes) propres aux cellules embryonnaires, mais inactivées, de même il existe en tout être humain, en toute société humaine des vertus régénératrices, génératrices, créatrices à l'état dormant ou inhibé.
3. Les vertus de la crise. En même temps que des forces régressives ou désintégratrices, les forces génératrices créatrices s'éveillent dans la crise planétaire de l'humanité.
4. Ce à quoi se combinent les vertus du péril : "Là où croît le péril croît aussi ce qui sauve." La chance suprême est inséparable du risque suprême.
5. L'aspiration multimillénaire de l'humanité à l'harmonie (paradis, puis utopies, puis idéologies libertaire /socialiste/communiste, puis aspirations et révoltes juvéniles des années 1960). Cette aspiration renaît dans le grouillement des initiatives multiples et dispersées qui pourront nourrir les voies réformatrices, vouées à se rejoindre dans la voie nouvelle.
L'espérance était morte. Les vieilles générations sont désabusées des faux espoirs. Les jeunes générations se désolent qu'il n'y ait plus de cause comme celle de notre résistance durant la seconde guerre mondiale. Mais notre cause portait en elle-même son contraire. Comme disait Vassili Grossman de Stalingrad, la plus grande victoire de l'humanité était en même temps sa plus grande défaite, puisque le totalitarisme stalinien en sortait vainqueur. La victoire des démocraties rétablissait du même coup leur colonialisme. Aujourd'hui, la cause est sans équivoque, sublime : il s'agit de sauver l'humanité.
L'espérance vraie sait qu'elle n'est pas certitude. C'est l'espérance non pas au meilleur des mondes, mais en un monde meilleur. L'origine est devant nous, disait Heidegger. La métamorphose serait effectivement une nouvelle origine.
Sociologue et philosophe. Né en 1921, est directeur de recherches émérite au CNRS, président de l'Agence européenne pour la culture (Unesco) et président de l'Association pour la pensée complexe. En 2009, iI a notamment publié "Edwige, l'inséparable" (Fayard). A lire également, "La Pensée tourbillonnaire - Introduction à la pensée d'", de Jean Tellez (éditions Germina)