dimanche 8 mai 2011

Vous reprendrez bien un petit film !

Nous avons un peu espéré que Gasland obtienne l'oscar du documentaire 2011...

Et pis non, c'est "Inside Job" qui l'a obtenu...

Nous avons été choqué au visionnage de Gasland... Et bien on sort traumatisé de Inside Job...

Pour le voir en français c'est ici :

http://www.streamiz.com/video.php?id=139149

http://allostreaming.us/regarder-Inside%20Job-85771-en-streaming.html

http://www.megastreaming.ws/inside-job.html

http://leweb2zero.tv/video/mattlouf_134d7e6865367dd


http://mega-streaming.info/video/8SUK8NRRW1G2/Inside-Job-VOSTFR



Où l'on apprend, entre autre info effrayante, que la consommation de cocaine stimule les mêmes zones du cerveau que l'accumulation financière à outrance, que tous ces banksters en font une consommation effrénée au point de blanchir l'argent des cartels de drogues...

Enfin, ou l'on apprend que le système est verrouillé dès l'école et l'université ou les profs d'économies sont tous payés par la finance des banksters qui de fait tiennent tout : les politiciens du congrés, les médias et toute la filière d'enseignement de l'économie...

Je me souviens des années 80....

Le convoi planétaire partait en direction des camps...

Nous sommes bientot arrivés !

Le premier qui voit la pancarte paye sa choucroute !

dimanche 1 mai 2011

Un Premier Mai Nucléaire...

Et si vous vouslez pas lire corinne lepage, choucroutman pense bien à vous :

voilà une belle synthèse de ce qui se sait sur tout ça....

Fukushima/2012:

Contamination radioactive

de la chaîne alimentaire planétaire

En août 1945, alors que le Japon s’était militairement effondré, la mafia globaliste des prédateurs militaro-industriels initia la 3 ème guerre mondiale en détruisant les vies de centaines de milliers de civils Japonais en l’espace de quelques secondes. Les deux bombes atomiques, lâchées sur Hiroshima et Nagasaki, annonçaient une guerre totale et génocidaire à l’encontre de l’humanité entière avec la radioactivité comme arme de destruction massive. Le désastre nucléaire de Fukushima-Daiichi constitue une crise aiguë dans cet empoisonnement radioactif chronique de l’espèce humaine, et de toute la biosphère, qui perdure depuis 66 ans.

Aujourd’hui, sept semaines après le tsunami du 11 mars 2011, la situation des réacteurs de la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi se dégrade inexorablement. Le 28 avril, TEPCO annonçait que la radioactivité ambiante était de l’ordre de 1220 millisievert/heure, ce qui correspond à quasiment 10 millions de fois la dose radioactive artificielle admissible en France (1 millisievert/année). TEPCO, réputé pour ses mensonges outranciers depuis le début de la crise, commence à préparer le monde entier à l’éventualité, plus que probable, de son i ncapacité à contrôler cette catastrophe nucléaire en 9 mois, ainsi que son carnet de route le stipulait. Certains réacteurs sont en fusion totale (et ce, depuis le premier jour), les fuites sont permanentes, les risques d’explosion sont plus que plausibles, etc, etc. Alors que les émissions d’isotopes de césium 137, de strontium 90, d’iode 131, de plutonium 239... contaminent en permanence l’atmosphère et l’océan, la presse Occidentale, aux ordres de la mafia globaliste, qualifie la situation de stable, ou d’ailleurs ne la qualifie plutôt pas, afin de ne pas paniquer les foules et surtout de ne pas courroucer le gang nucléaire. La situation est effectivement stable: la pollution radioactive de Fukushima pourrait durer de longues année s à moins que de nouvelles explosions catastrophiques lui confèrent une tournure beaucoup plus abrupte. Le nord du Japon aurait déjà dû être évacué. A quand l’évacuation de Tokyo et de la totalité du Japon?

Aux USA, le plutonium 238 et le plutonium 239 sont apparus à partir du 18 mars: en Californie et à Hawaï, ils furent respectivement 43 fois et 11 fois plus élevés que le niveau maximal répertorié durant les 20 dernières années. En mars, l’eau de boisson de San Francisco contenait 181 fois la dose admissible d’iode 131. Le 4 avril, l’eau de pluie de Boise dans l’Idaho contenait 80 fois la dose admissible d’iode 131 ainsi que du césium 137. En début avril, le taux de césium 137 dans les sols, près de Reno dans le Nevada, était 30 fois supérieur à la dose admissible. Egalement en avril, on a retrouvé dans de très nombreuses régions des USA, du césium 134, du strontium 89, du strontium 90 et même de l’américium et du curium. Tous ces isotopes radioactifs se sont également déposés en Europe et si on ne les trouve pas, c’est qu’on ne les cherche pas.

Avant la fin de l’année 2011, tous les sols de la planète seront inexorablement contaminés par l’irradiation quotidienne et permanente des réacteurs de Fukushima. Il en sera de même pour les océans et les nappes phréatiques. C’est alors que les isotopes radioactifs de Fukushima vont entamer un long processus de bioaccumulation en remontant les divers échelons de la chaîne alimentaire. En 2012, la totalité de la chaîne alimentaire planétaire sera radioactive et donc hyper-toxique pour la santé humaine.

Mais pas de panique! L’alimentation humaine est déjà issue d’un environnement éminemment toxique et l’agriculture chimique moderne constitue, intrinsèquement, une arme de destruction massive de par sa capacité à produire, en masse, des aliments hautement empoisonnés. La mafia globaliste adore la diversité, surtout la nécro-diversité des stratégies d’empoisonnement de l’humanité et de la biosphère. La sainte trinité de leur théologie de l’annihilation se décline comme suit: Cancer, Mutation, Stérilité ou, selon la terminologie usitée dans les nombreux ouvrages du Professeur cancérologue - et lanceur d’alerte - Dominique Belpomme, des pathologies CMR, à savoir Cancérigènes, Mutagènes et Repro-toxiques.

La troisième guerre mondiale nucléaire, lancée en 1945, s’est dotée de tout un arsenal d’armes génocidaires:

- Des réacteurs nucléaires. Ils sont au nombre de 1450 et leur finalité première n’est pas de produire de l’énergie “civile” mais bien plutôt de produire du plutonium à usage militaire. On sait pertinemment, depuis les années 70, que la filière nucléaire n’est pas rentable: elle consomme plus d’énergie qu’elle n’en produit et la facture n’inclut évidemment pas les centaines de milliards de dollars, ou d’euros, liés à la gestion des accidents et des pathologies permanentes qu’elle génère. La finalité primordiale des centrales nucléaires, dans le monde entier, est de produire du plutonium et de l’uranium appauvri à des fins de destruction humaine. (Nous renvoyons les lecteurs à un rapport de la CIA, récemment présenté sur le site de Next-up, qui met parfaitement en exergue les triangulations “au plutonium” entre la France (EDF, Cogema/Areva, CEA), le Japon et les USA. Toutes les centrales nucléaires émettent en permanence de la radioactivité: en termes techniques, elles fuient. De nombreuses études le prouvent. Il n’est que d’étudier la carte des régions où le cancer du sein et le diabète prévalent aux USA: ces régions se situent toutes dans un rayon de 150 km autour d’une centrale nucléaire. Une telle étude comparative serait impossible en France pour la bonne raison qu’il n’existe pas de région qui ne soit pas sous les fuites (et donc sous la déflagration-détonation potentielle) d’une centrale nucléaire! La France est le pays le plus nucléarisé au monde grâce à une entente parfaite entre tous les gouvernements qui se sont succédés (de toutes couleurs politiques confondues) depuis 1956 et le gang nucléaire (EDF, Cogema/Areva, CEA).

- Des déchets radioactifs. Jusqu’en 1982, ce sont “officiellement” quelque 100 000 tonnes environ qui furent plongées, dans des containers en béton, au plus profond des océans. Mais, en fait, pas si profondément dans la mesure où certains réapparurent, au gré du tsunami de 2006 en Indonésie, pour venir s’échouer sur les côtes de la Somalie, provoquant la mort rapide des pécheurs de ce pays. Quel est l’impact des déchets radioactifs sur la vie marine de la planète Terre? Ni vu, ni connu. Depuis une trentaine d’années, les déchets radioactifs sont “retraités”: mais que l’on se rassure, les fonds de pension nucléaires n’ont pas été engloutis dans le plus grand hold-up financier de l’histoire humai ne qui prévaut depuis 2008. Les déchets radioactifs jouissent d’une retraite prospère et paisible dans des ogives nucléaires (il en existe encore quelques dizaines de milliers dans l’air, dans les mers et sur terre), dans le combustible MOX (contenant 7 % de plutonium) des centrales nucléaires de France et du Japon; parfois, ils se baladent sur les routes de l’Europe et parfois même encore ils se prélassent dans des piscines sur les terrasses de certains réacteurs nucléaires. En attendant la Vague!

- Les bombes à “uranium appauvri”. Elles sont qualifiées de “bombes sales des riches” par Paolo Scampa. Contrairement à ce que la sémantique pourrait laisser entendre, elles constituent des armes terrifiantes de destruction massive. L’opération “humanitaire” en Libye, orchestrée par l’OTAN et les USA - et dont la finalité est de voler le pétrole, l’or et les ressources financières du peuple Libyen (et de déstabiliser la zone) - a déjà lâché des milliers de bombes à uranium appauvri, dites de quatrième génération, sur le territoire Libyen. Les bombes à uranium appauvri ont été utilisées pour la première fois par Israël dans la guerre du Kippour (octobre 1973) contre l’Egypte. Elles furent ensuite utilisées au Liban, par Israël, et en ex-Yougoslavie, en Irak, en Afghanistan et en Libye par les USA et diverses “coalitions” Occidentales. Elles furent également utilisées par Israël à Gaza (enquête de l’association ACDN). Les bombes à uranium appauvri génèrent cancers, mutations et stérilités dans ces pays-mêmes ou chez les militaires participant aux opérations humanitaires. Ainsi, aux USA, une étude a porté sur 631 174 militaires vétérans de l’Irak: 87 590 souffrent de pathologies musculaires et osseuses, 73 154 souffrent de pathologies mentales, 67 743 souffrent de pathologies indéfinissables, 63 002 souffrent de pathologies gastro-intestina les, 61 524 souffrent de pathologies neuronales, etc, etc. Nous convions tous les promoteurs de l’atome civil et nucléaire à consulter les sites internet présentant des photos d’enfants difformes (et c’est un euphémisme) nés en Irak, en Afghanistan, à la suite des guerres humanitaires et libératrices, ou en Ukraine, à la suite de Tchernobyl. Les bombes à “uranium appauvri” libèrent des isotopes dont la demie-durée de vie est de 2,5 milliards d’années, c’est à dire qu’il en subsistera encore dans 24 milliards d’années.

- Les “essais” nucléaires. Contrairement à ce que la sémantique pourrait laisser entendre, ce sont des explosions en bonne et due forme. Depuis 1945, il y en a eu plus de 2050 dans l’atmosphère et dans le sol. La plus grosse fut de création Russe et sa puissance fut de plus de 3000 fois celle d’Hiroshima. En 1963, voyant que le Président John Kennedy souhaitait faire voter une loi interdisant ces essais atomiques dans la Nature, la clique militariste US en fit exploser 250 en une seule année, à savoir presqu’un par jour.

- L’agriculture moderne chimique. Cette agriculture recouvre la quasi totalité des pays Occidentaux et une grande partie des pays dits émergents ou en voie d’occidentalisation. Elle utilise des fertilisants de synthèse et toute une panoplie d’armes de guerre – les pesticides – destinées à lutter contre les champignons, les herbes, les insectes, les nématodes, etc, et qui sont qualifiées de fongicides, d’herbicides, d’insecticides, de nématocides, etc. Cette agriculture de guerre, ou agriculture mortifère, produit des aliments-poisons qui génèrent une pléthore de pathologies cancérigènes, mutagènes et repro-toxiques. D’ailleurs, un agronome a autrefois comparé les fertilisants agricoles, de la chimie de synthèse, à des mini bombes atomiques à usage agricole – ou plutôt, sous couvert d’usage agricole, à but génocidaire. L’agriculture moderne chimique a également recours à des semences modifiées génétiquement par Monsanto, et autres multinationales criminelles. Ces semences chimériques, et les récoltes qui en sont issues, peuvent également être considérées comme de mini-bombes qui sèment le chaos dans l’organisme humain et animal ainsi que de nombreuses études récentes l’ont prouvé.

- L’industrie chimique. En sus de produire des cocktails de poisons pour la “paysannerie”, cette industrie a créé des dizaines et des dizaines de milliers de produits chimiques dont la majorité, pour employer l’expression consacrée, sont de véritables bombes. Certains de ces produits chimiques possèdent des appellations diverses et variées: vaccins, remèdes allopathiques, adjuvants alimentaires, sucres de synthèse, etc, etc.

- Les technologies de la communication, de la prévention médicale et de la “lutte anti-terroriste”. Dans ce fourre-tout high-tech, nous pourrions mentionner la téléphonie mobile de troisième et de quatrième générations, les systèmes WIFI, les radioscopies à usage médical, les body-scanners dans les aéroports, etc. Nous renvoyons le lecteur à une étude récente du Suisse Daniel Favre sur les pathologies des abeilles issues des interférences électromagnétiques de la téléphonie.


Pour résumer cette situation génocidaire, les psychopathes déments et criminels ont recours à deux types d’opérations spéciales pour détruire le génome humain et éradiquer une grande partie de l’espèce humaine.

----- La première consiste à générer de la contamination radioactive directe par le biais de technologies nucléaires: essais nucléaires dans l’atmosphère et dans le sol, réacteurs nucléaires civils, réacteurs nucléaires militaires pour la recherche et la production de plutonium, bombes à uranium appauvri et non-gestion des déchets radio-actifs.

----- La seconde consiste à ruiner le système immunitaire par une contamination radioactive indirecte, sournoise et quotidienne: aliments-poisons, vaccins, remèdes allopathiques, téléphonie mobile, etc, etc.

Et pour couronner le tout, le Codex Alimentarius, créé en décembre 1961 sous l’égide de l’OMS et de la FAO, constitue la cerise, haute en couleur mais létale, sur le gros gâteau nucléaire. On ne peut qu’admirer le raffinement de la stratégie de la mafia globaliste: depuis 1945, le complexe militaro-industriel détruit l’humanité et la biosphère tout en mettant en place une organisation internationale, le Codex Alimentarius, qui est supposée protéger les peuples. Et que fait le Codex Alimentarius pour protéger les peuples: il prend ses ordres des multinationales biocidaires pour imposer les semences chimériques, les fertilisants de synthèse, les pesticides, etc, et pour imposer, à terme, “l’irradiation” (radioactive) de tous les aliments!


Répétons, une nouvelle fois, que le Codex Alimentarius dépend de l’OMS, une branche du machin Onusien, qui pourrait tout autant s’appeler l’Organisation pour les Mutations et la Stérilité. Rappelons que les mafieux de l’OMS ont signé un traité secret de non-agressivité, en 1959, avec les mafieux de l’AIEA (Agence Internationale de l’Energie Atomique). La capacité de nuire de l’AIEA est grandissime. Ces criminels osent encore parler de quelques dizaines de décès, ou au plus de quelques milliers, à la suite de Tchernobyl, alors que le rapport de l’Académie Nationale des Sciences, paru aux USA en novembre 2009, affirme qu’entre 1986 et 2004, ce sont 950 000 personnes qui sont décédées, dans le monde, des suites de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl. Et nous sommes en 2011.


L’imposition inexorable du Codex Alimentarius, depuis 1961, va aboutir, à très court terme (c’est demain) à la suppression pure et simple de tous les compléments alimentaires et de toutes les plantes médicinales qui permettent à l’humanité de se protéger, ou de se soigner, des effets destructeurs de la radioactivité ou de toute autre forme de pollution agricole, médicale ou industrielle. L’interdiction de ces substances entraînera, faut-il le préciser, la suppression de la majorité des alternatives médicales, et c’est bien sûr ce que souhaite l’OMS totalitaire qui tente, depuis des dizaines d’années, de criminaliser toutes ces thérapies dites alternatives. L’OMS préfère promouvoir, pour traiter le cancer qui est devenu “épidémique”, la chimiothérapie et la radioactivité: on vit une époque formidable.


La boucle est bouclée. La mafia globaliste empoisonne l’humanité et, par le biais du Nécro-Codex Alimentarius, l’empêche de se soigner avec des thérapies alternatives et naturelles.

Cela fait de nombreuses années que nous avons lancé l’alarme mais cela roupille dans les chaumières. Le Canada a déjà fait passer son décret C 51. Deux états des USA viennent de faire passer des lois criminalisant toutes les thérapies alternatives.

La semaine passée, dans l’Oregon, la FDA (le Ministère de l’agriculture et de la santé aux USA) a lancé un raid, protégé sur ses arrières par 80 policiers lourdement armés, sur une petite société en activités depuis plus de 20 ans, Maxam Nutraceutics, produisant des “compléments alimentaires” pour soigner l’autisme (devenu endémique aux USA et en Europe grâce à la pollution radioactive et aux vaccins au mercure).

Quant à l’Union Européenne, fidèle à ses fondement totalitaires et anti-démocratiques, elle se moque éperdument des peuples et roule pour les multinationales et le gang nucléaire: sous peu, elle aura fait passer à la trappe tous les compléments alimentaires et toutes les plantes médicinales, de même que toutes les préparations naturelles utilisées par les techniques d’agro-écologie. Et c’est cette même Union Européenne qui vient de multiplier les doses admissibles de radioactivité, dans les aliments, de 20 fois sous prétexte qu’il vaut mieux consommer des aliments radioactifs plutôt que de faire face à des pénuries alimentaires.

Le seuil minimal de radioactivité est une vaste escroquerie scientifique. Rappelons que, selon les experts en endocrinologie, il n’existe pas de dose minimale de contamination radioactive et que, de plus, les contaminations provoquées par de faibles doses sont souvent plus destructrices, pour le foetus humain, que les contaminations provoquées par de fortes doses.


Que faire? Dans un premier temps, mettre en place des techniques de décontamination des sols.

Après Tchernobyl, il était interdit de vendre des fromages en Autriche; cependant, on s’aperçut rapidement que les fromages produits par des agriculteurs bios utilisant, depuis de nombreuses années, des apports de roches volcaniques (les zéolites) étaient strictement exempts de radioactivité.

En effet, toutes les roches volcaniques de la famille des zéolites sont réputées pour leur capacité de bloquer les métaux lourds et les particules radioactives. Le futur de l’humanité passera par l’agriculture écologique.

En effet, la première ligne de défense, à l’encontre des métaux lourds et de la radioactivité, c’est une vie microbienne prospère dans les sols et la présence d’humus et d’oligoéléments indispensables à la nutrition harmonieuse des plantes. Cette première ligne de défense est strictement absente dans la majorité des sols Européens qui sont morts, stérilisés, oxydés et dont les produits alimentaires ne font que générer, dans le corps humain, des radicaux libres facteurs de dégénérescence.

Il existe également des techniques de décontamination ayant recours à des champignons ou à des plantes pour “fixer” la radioactivité. Il n’est pas aisé de transformer un jardin ou un champ en champignonnière mais, par contre, il est beaucoup plus facile d’y planter des espèces végétales telles que le tournesol et le chanvre/cannabis.

Certaines études ont mis en valeur que ces deux espèces végétales avaient été utilisées avec succès à la suite du désastre de Tchernobyl.

La question reste de savoir comment recycler les plantes de décontamination. On pourrait proposer d’en organiser des collectes qui seraient expédiées vers l’Elysée ou vers les sièges d’EDF ou d’Areva. Le grand avantage du chanvre/cannabis, en tant que plante décontaminante, c’est qu’il permet aussi de confectionner des cordages très solides!

Car franchement, les peuples de la Terre en auront bien besoin de ces cordes le jour où ils érigeront des Tribunaux Planétaires pour juger tous les psychopathes et sociopathes, et les crapules en tous genres, qui ont transformé cette belle planète en une poubelle toxique et radioactive.

En effet, la première phase de décontamination serait, en toute logique, une phase de décontamination du tissu social car il ne sert à rien de décontaminer la biosphère si les prédateurs militaro-industriels continuent de l’empoisonner avec entrain. La décontamination du tissu social est un impératif urgent si l’on veut aider l’espèce humaine à passer le cap de cette extinction présente.

Les prédateurs militaro-industriels doivent être neutralisés par tous les moyens imaginables. C’est alors qu’il sera possible de stopper toutes les centrales nucléaires, d’interdire l’agriculture chimique, de condamner toutes les multinationales biocidaires, d’éliminer toute la presse globaliste, de mettre fin au hold-up financier…

En bref, il nous faut promouvoir une insoumission totale aux Autorités qui fonctionnent dans un vide intégral d’autorité morale et spirituelle, le Nouvel Ordre Mondial. Lorsque leurs valets d’Etat seront neutralisés, les multinationales s’effondreront car elles ne subsistent que grâce à la corruption généralisée.


C’est cette corruption qui permet à TEPCO, au gouvernement Japonais et aux diverses Autorités Occidentales de mentir effrontément en prétendant que la situation à Fukushima est stabilisée et qu’il n’existe aucun danger radioactif pour les peuples de la planète qui sont maintenus, de force, dans l’ignorance la plus crasse.

En France, qu’en est-il des ONGs auto-déclarées anti-nucléaires? Le Réseau Sortir du Nucléaire renvoie ses lecteurs vers le New-York Times pour des infos sur le statut des “réacteurs endommagés” de Fukushima. Soyons sérieux, les réacteurs ne sont pas endommagés, ils sont détruits et il serait plus authentique d’orienter les lecteurs anglophones vers des blogs dédiés à cette problématique plutôt que vers la grande presse US.

On en viendrait presque à se demander pour qui roule le Réseau Sortir du Nucléaire depuis qu’ils en ont éjecté Stephan Lhomme qui vient de créer son propre Observatoire du Nucléaire. Quant à Greenpeace, les platitudes, sur son site, concernant Fukushima, sont pathétiques: la transcription des communiqués du gouvernement Japonais ne constitue pas de l’information, c’est de l’intox. Rappelons que Greenpeace, tout autant que le Réseau Sortir du Nucléaire, ont cautionné l’immense farce du Grenelle de l’Environnement, ce qui est déjà tout un non-programme nucléaire!


C’est en fait l’Association Next-up qui tente le plus sérieusement de présenter des informations, au jour le jour, en France.

Nous conseillons aux lecteurs, également, le site de Jean-Pierre Petit dont les dossiers techniques et scientifiques sont toujours magnifiquement étayés.

Quant à la Criirad, elle n’a pas présenté de nouvelles récentes depuis son communiqué du 12 avril. On conçoit aisément qu’il n’est pas facile pour de petites associations, sans moyens financiers, de tenter de percer le mur opaque du secret qui a été érigé autour de la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi: ce n’est pas un sarcophage de béton qui a été érigé autour des réacteurs de Fukushima, c’est un sarcophage quasi-impénétrable de mensonges et d’intox.

Qui a évoqué la forte probabilité qu’une explosion nucléaire, et non pas une explosion à l’hydrogène, a eu lieu dans le réacteur 3? Personne à part quelques physicienss ou ingénieurs nucléaires qui ne pratiquent pas la langue de bois: Leuren Moret, Arnie Gunderson, Chris Busby… Et aujourd’hui, 29 avril, le professeur Toshiso Kosako, mandaté par le gouvernement Japonais le 16 mars en tant que conseiller spécial nucléaire, vient d’annoncer sa démission, les larmes aux yeux, parce que, dit-il, «le premier ministre a ignoré les lois». Mais peut-être ne les connait-il pas?


La finalité de ce court article n’est pas de fomenter la peur ou la dépression:


-- elle est de promouvoir la mise en place de techniques de dépollution

-- et d’encourager les peuples à déclarer ouverte la chasse aux prédateurs militaro-industriels, la source toxique de tous leurs maux.

La crise de Fukushima, et la contamination subséquente de l’intégralité de la chaîne alimentaire planétaire, constituent une nouvelle invitation à oeuvrer en co-évolution avec la Terre-Mère.

Il ne reste que peu de temps.


Dominique Guillet. Le 29 avril 2011.

Depuis 1999, l’Association Kokopelli lutte pour la Libération des Semences et de l’Humus. Nous nous engageons, présentement, à faire des recherches et à établir des protocoles au bénéfice des jardiniers afin de les aider à vivre et àcontinuer de jardiner dans un monde contaminé par la radioactivité. Toutes nos fiches techniques seront présentées sur le site ou sur le blog de l’association.


http://www.kokopelli-blog.org/?p=375

link

Allez, nous reprendrons bien un petit peu de nucléaire...

Un article de corinne lepage dans libé fait sortir choucroutman du bois... Paske c'était loin d'être une évidence : 1 de lire libé (sombre et triste torche cul alors que Fakir est bien plus pertinent) - 2 de lire corinne lepage dont l'affairisme fut fort bien decrit par la canard enchainé de l'été dernier hors série sur les affaires...

Enfin et pourquoi parceque, c'est de que choucroutman est parti pour revenir ici, donc,
fallait le dire et c'est dit ... Merci Fabrice !

Terre 26/04/2011 à 12h32

Pourquoi le gouvernement fait le choix d’une électricité chère et dangereuse

367 réactions

Par CORINNE LEPAGE Euro-députée

Vous avez voulu de l’électricité bon marché et sans risque. Vous aurez de l’électricité chère et dangereuse.

Le mythe d’une électricité bon marché et sûre s’effondre. La faute en incombe soi-disant aux énergies renouvelables et aux investissements dans la sûreté. EDF et le lobby nucléaire, à commencer par le gouvernement qui en est partie intégrante, nous prennent pour des imbéciles.

Tout d’abord, le prix de l’électricité va monter de 30%. Pourquoi? Tout simplement parce que même si les centrales sont amorties, le coût réel du nucléaire commence à apparaître au moment où EDF va devoir assumer une très légère part de l’aval du cycle (parce que le contribuable va devoir en assumer l’essentiel) et financer ses investissements: renforcement de la sécurité d’une part, construction des EPR… Dès lors, non seulement le nucléaire n’est pas bon marché mais il devient très cher, aussi cher que l’éolien. Le contribuable-consommateur français a été prié, depuis 40 ans, par une politique délibérée de faibles taxes sur le prix de l’électricité, de consommer le plus possible et en particulier de se chauffer grâce à l’électricité ce qui est une aberration.

Aujourd’hui, la quasi-totalité du parc de logement social français est équipée en chauffage électrique ce qui signifie très clairement que ce sont les ménages plus modestes qui vont devoir supporter une hausse inéluctable du prix de l’électricité sans pouvoir adapter leur comportement si ce n’est en baissant la température des logements afin de limiter la facture ! Le mensonge éhonté qui consiste donc à continuer à parler d’un nucléaire bon marché et d’ENr chères persiste alors même que toute rationalité est sortie du débat. A aucun moment, une comparaison n’a été réalisée entre le coût d’un nouveau programme nucléaire, que le lobby veut à toute force imposer, et un vrai programme d’efficacité énergétique et d’énergies renouvelables. Pour faire passer le mensonge, toutes les manipulations sont bonnes: confondre investissements dans la sûreté (qui a été négligée depuis des années) et nouveaux réacteurs, biaiser les coûts du nucléaire et des autres énergies en faisant supporter par l’usager les coûts de raccordement dès lors qu’il ne s’agit pas de nucléaire. Ou encore prétendre que la rente nucléaire appartient à EDF qui se privatise alors qu’elle appartient aux Français qui l’ont financée. Ou encore ne pas prendre en considération le fait que les centrales sont amorties même s’il faut investir dans la sûreté et qu’en conséquence le prix réel de production est de plus en plus bas. Cette circonstance avait conduit Mme Merkel à imposer aux exploitants allemands une taxe destinée à financer les ENr en contrepartie de la prolongation de la durée de vie des centrales considérées comme du bénéfice net. Rien de tel en France où EDF se livre à un véritable hold-up sur le porte-monnaie des ménages. Ou enfin, la présentation du dilemme suivant -qui n’est d’ailleurs pas offert à la réflexion des citoyens français- le nucléaire est bon marché comme aucune autre forme d’énergie viable sauf à la payer plus chère. Sortir du nucléaire serait plus cher. Et bien, non. Le calcul n’est pas fait et il est très probablement en sens contraire. Sortir du nucléaire serait économiquement avantageux, si on raisonne de manière globale.

Nous payerons cher notre nucléaire à l’avenir et en plus nous sommes en situation de risque, ce qui en augmente les coûts.

Derrière les rodomontades et les roues de paon se cache une réalité avouée par les autorités de sûreté et de radioprotection qui est un truisme pour tous les esprits dotés de bon sens élémentaire: un accident peut se produire en France reconnaît M. Lacoste, responsable de l’ASN. A Kiev, lors de la conférence des Nations Unies sur la Sécurité Nucléaire sous l’égide de l’AIEA pour les 25 ans de Tchernobyl, M. Repussard, patron de l’IRSN affirmait un risque d’accident nucléaire pour 10000 réacteurs par an. Compte tenu du parc mondial actuel, environ 500 réacteurs, cela représente un accident tous les 20 ans. La France étant dotée du 2ème parc mondial avec 58 réacteurs, son risque statistique est élevé. 19 de nos réacteurs datent des années 70, certains sont en zone sismique, d’autres confrontés à un risque d’inondation, certains cumulent les 2. Or, toutes ces centrales, par souci de rentabilité, ont recours à la sous-traitance, aux petites économies d’où une explosion du nombre d’incidents.

Oui, le choix que le gouvernent fait est celui d’une électricité chère et dangereuse et à coûts exponentiels.

Tchernobyl ne fait que commencer

A l’heure où tous les regards se tournent (ou plutôt devraient se tourner vers Fukushima si la machine à désinformer n’étaient pas en doute), les 25 ans de Tchernobyl nous rappellent à la réalité. Certes, le lobby nucléaire mondial, mené par l’AIEA, a réuni une conférence à Kiev pour se congratuler de la qualité des efforts consentis depuis Tchernobyl en terme de transparence (sic!) et de sécurité (resic!!).

Certes, au cours de cette conférence, l’OMS dont la faiblesse insigne, voire l’inexistence est patente, a admis 10 000 victimes (après avoir défendu durant des années la thèse de 42 morts, puis de 4 000) et demandé des fonds pour faire des études sur les cohortes de liquidateurs qu’elle a ignorées pendant 25 ans, jugeant utile des études sur les effets à long terme de la catastrophe de Tchernobyl. Mais l’essentiel n’est évidemment pas là, si ce n’est le sentiment pour les auditeurs de la conférence dont j’étais, d’assister à un théâtre d’ombres de personnages hors des réalités, dont la confiance absolue en eux même et en leur technologie n’avait d’égale que leur arrogance et leur mépris du reste de l’Humanité.

Cet état d’esprit est d’autant plus abominable voire criminel que « Tchernobyl » ne fait que commencer.

Durant ces 25 ans, que s’est-il passé? L’héroïsme volontaire ou imposé des centaines de milliers de liquidateurs est une ineptie sanitaire : ils ont construit puis entretenu et solidifié ce qu’il est convenu d’appeler le sarcophage, coquille rouillée et perméable du réacteur numéro 4 et de ses 30 tonnes de combustibles, enfouis sous la structure et pour lesquels Framatome a échoué, au début des années 2000 à réaliser, du fait d’une erreur de calcul, les conditions de stockage dans un nouveau bâtiment (ISF 2), bloc de béton, abandonné à quelques centaines de mètres de la centrale. Des millions d’euros dépensés par les donateurs, au profit de leurs propres sociétés, sans compter les pertes en ligne pour le chantier : c’est une gabegie. Et surtout, une bataille a été gagnée à ce jour par le lobby pour rendre impossible l’évaluation reconnue internationalement des victimes de Tchernobyl.

Tout ceci devait conduire à permettre, au bout de 25 ans, d’affirmer que la question était réglée et que la situation était sous contrôle. Il n’en est rien.

Les conséquences sanitaires actuelles

Commençons par le drame des populations : pas seulement de celui des familles vivant dans le rayon de 30km qui ont été exilées, qui ont tout perdu et dont beaucoup ont été irradiées en raison de leur éloignement tardif ; mais surtout des populations vivant dans les zones contaminées, soit 10% du territoire de l’Ukraine auquel s’ajoute celui de la Biélorussie et la Russie. Or, le drame est que non seulement les adultes souffrent de maladies cardiovasculaires qui ont augmenté d’un facteur 4 mais aussi de cancers avec un taux de croissance de 500% dans la région de Gomel (Biélorussie). Le taux d’incidence augmente avec le temps et les invalides issus de Tchernobyl sont plus nombreux aujourd’hui parmi la population vivant dans les territoires contaminés que parmi les liquidateurs (dont il est vrai beaucoup sont morts). Mais le plus grave est ce que le Professeur Bandajevsky décrit comme un «génocide lent». D’une part, la baisse démographique dans tous les territoires contaminés. Une baisse de natalité de 9,3 pour mille et une hausse de mortalité de 14,2 pour mille a conduit à une baisse démographique de 4,9 pour mille en 1999 pour monter jusqu’à 5,9 en 2002 et 5,2 en 2005. Entre 1990 et 1999, le taux de mortalité a augmenté de 32%. Entre 1994 et 2008, la population de Biélorussie a diminué de 600 000 personnes soit 6% de la population. En Ukraine, la baisse a été encore plus importante: 5 400 000 personnes soit 8% de la population.

Cette baisse démographique s’accompagne d‘une situation alarmante de la santé des enfants. La morbidité pédiatrique a augmenté dans la région de Gomel de 100% entre 1986 et 1996. Le nombre de tumeurs chez les enfants a été multiplié par 2 entre 2001 et 2008. Dans le district d’Ivankov où je me suis rendue pour visiter l’hôpital, sur 5600 enfants (nés entre 1993 et 2011, soit bien après Tchernobyl) seuls 40 n’ont pas le statut de victimes de Tchernobyl. Le taux de malades ne cesse de progresser en raison en particulier d’une alimentation contaminée en Cesium 137 et en Strontium. En conséquence, 25 ans après la catastrophe, les conséquences sanitaires continuent non seulement à se manifester mais à croître pour ces enfants.

La contamination de longue durée des territoires

Une explication est avancée par l’équipe du professeur Bandajevsky (qui a fait 5 ans de goulag pour cette raison): la contamination la plus grave ne vient pas de l’iode 131 mais du Cesium 137 dont la durée de vie est beaucoup plus longue. 23% du territoire biélorusse reste aujourd’hui contaminé (plus de 37Bq/m2) et y vivent 1,4 million de personnes dont 200 000 enfants; les chiffres correspondants pour l’Ukraine sont 10% du territoire et 2,2M de personnes dont 500 000 enfants. La période du Cesium 137 est de 30 ans alors que celle de l’iode 131 est de…8 jours. On comprend l’empressement de la communauté nucléaire à refuser de prendre en considération l’importance du Cesium 137 et du Strontium alors que les corrélations entre ces éléments, leurs différentes incidences pathologiques et les zones contaminées sont clairement établies. Et on passe sous silence les zones interdites dont la spectaculaire ville de Pripyat, image de fin du monde humain, dans laquelle une nature post–accident nucléaire envahit les fragiles constructions humaines… Les autorités ukrainiennes ont pour leur part publié un atlas qui fait très clairement apparaître la persistance, sans grand changement des zones contaminées, au cesium, au strontium et au plutonium.

Le risque permanent de la centrale elle-même La réunion des donateurs visait à remettre la main à la poche à hauteur de plus de 2 mds d’euros pour refaire un nouveau sarcophage; il est vrai que 25 ans après l’explosion, la situation est très préoccupante. Outre que le risque de séisme est permanent -le dernier tremblement de terre date de 1991 avec une magnitude plus de 5 sur l’échelle de Richter- la durée de vie du sarcophage (30 ans) arrive à son terme avec un risque de désintégration. Une poussière radioactive, sous forme d’aérosols s’est formée dans le sarcophage et diffuse de plus en plus largement à l’extérieur en raison de la porosité de l’ouvrage. A l’intérieur, la présence de 600 kgs d’uranium 235 et 70kgs de plutonium 239 pourraient créer, selon certains spécialistes, un risque de réaction en chaîne incontrôlée et donc de nouvelles explosions à laquelle le sarcophage vieillissant ne résisterait pas. Il en va de même des 15 tonnes de combustibles nucléaires, enfouis sous le réacteur, dans des gaines dont on ignore tout du degré de corrosion et de destruction. Or, le nouveau projet de shelter ne s’attaque en rien à ce sujet qui est le plus fondamental et présente un risque permanent.

En conclusion, 25 ans après l’explosion, rien n’est vraiment réglé, même si le « business as usual » et la banalisation sont devenus les maitres mots de l’industrie nucléaire mondiale. On revient de Tchernobyl, d‘Ivankov et de Pripyat avec la conviction que non seulement l’industrie nucléaire ne maîtrise rien, mais qu’elle porte en elle une vision mortifère, un choix délibéré d’accepter la destruction des humains au nom d’une vision prométhéenne de l’humanité.