mercredi 27 janvier 2010

Danger...

Il semble manifeste que sarko le petit gouverne pour dégouter les "intellectuels" selon sa definition (qui englobe culture, social, art, musique, santé sensible...) de la politique....

Niark Niark Niark

Ils croient qu'on va laissez faire !!!! HAW HAW HAW HAW (Très grand éclat de RIRE !)

Niark....

Considérons mieux cette histoire de suffrage universel comme on considère la juste fermentation du chou et de l'oie....

Niark Niark...

YA BON CHOUCROUTE....

lundi 25 janvier 2010

VINCENT PEILLON A LA RECHERCHE DU LIEN SOCIAL

Bon, Vincent Peillon est responsable au parti socialiste... Bon, il est aussi ancien professeur de philosophie... Il vient de publier un livre sur un des penseurs de la laicité, un type à la tête en plaque de rue du dix neuvième : Ferdinand Buisson.... Face à lui et pour un livre déjà un peu plus ancien : André Comte Sponville, philosophe, professeur auteur....
Même s'ils ont passé un peu vite les aspects majeurs des questions (la laicité de Buisson recupère la spiritualité, l'aspiration au bien, au beau au vrai, comme une nouvelle religion qui s'integre à la republique alors que Comte Sponville affirme bien que la republique n'a pas à se mêler de ça)

Bref, passionnant à podcaster sur le site de France Culture ici,

Là ou J'ai trouvé cela très choucroute finalement c'est que Peillon, tout PS perdu qu'il est, finalement cherche le lien social disparu, un ciment, que dis je un ferment, une choucroute pour rassembler nous autres...

Ah ah aha ah.... Ben oui si y 'avait pas eu d'utopistes ont seraient encore à l'age des cavernes...

mais bon...

j'ai une recette pour que les riches soient riches et que les pauvres cessent d'emmerder les riches... On laisse faire les premiers et on traque les seconds en leur expliquant que les premiers sont ceux qui sont servis par les politiques... On joue la carte de la représentation d'un monde injuste, on met la police dans la rue avec des quotas de gens à arrêter, on gave les pauvres de peur et de craintes en tout genre en leur annonçant la desctruction du bien commun à tous les étages... Et comme cela, ni les jeunes, ni les moins jeunes iront voter... Il n'y aura plus que les vieux pauvres pour voter, quelques idealistes qui ne regardent pas la télé et les riches, bien sur parce que eux ils savent pour qui voter....

Mais bon, le lien social perdu.... mais 'tain c'est au dix neuvième qu'il a été perdu à coup de baïonnettes dans bide des ouvrières enceintes !.... A tous les coups, à tous les coups le nouveau est tombé sur la réprésssion.... Louise Michel au secours !!!

Alors Peillon peut bien fantasmer avec Buisson.... Les enjeux de la république ne sont pas là... Mais dans un projet....

Pourquoi pas commencer par rendre le vote citoyen obligatoire pour toutes et tous de plus de 18 ans et des immigrés et des étrangers !

On va pas finir comme aux USA où les riches arrosent les candidats de partout et où le congrès ne se renouvelle PAS....

et pendant ce temps le PS dit qu'il faut travailler peut etre jusqu'à 61.... Mais c'est à pleurer !!!

Au moins peillon il cherche un truc plutot que de ronronnner....

dimanche 24 janvier 2010

Camus again...

Que'est ce qu'il disait Camus ? Le pouvoir rend fou, le monde est absurde.... Oui, il disait aussi, le pouvoir partagé en coopératives de production ouvrière fonctionne.... Oui Oui Oui OUI...

J'ai encore écrit des voeux de bonne année que je n'enverrais pas, ma copine les a lus et son silence à ce sujet depuis une semaine en dit long...

Tant pis...

Allez sert moi à boire... En attendant....

J'ai fini ce petit chef d'oeuvre de estelle nollet.... Oui petit chef d'oeuvre de petites choses simples et douloureuses comme la vie.... Il est beau son livre et si vous connaissez des personnes qui aiment beaucoup boire et boire beaucoup, ben faut leur offrir, le reste on s'en fout....

Nan je rigole... Y a tellement de trucs dont on se fout pas... Le sourire et le sourire des amis...

Bon je reprendrais bien un petit whisky... Et pourquoi petit ?

et on a plus de Gewurztraminer ?

Ben non, on a tout bu....

Ah, ben cette année... Hein...Ben j'en donne pas cher , hein cré non de dieu d'enfoiré de dieu qu'est même pas capable de payer son coup quand on imagine qu'il est existe, bien la preuve qu'on peut mourir de soif...

samedi 16 janvier 2010

Un peu de littérature... estelle nollet et ses rats kangourous

Paske j'ai déja parlé ici de la route le bouquin de mac cormac mac carthy je sais plus il a nom qui sent l'embrouille comme ses livres, berf, un roman à chialer, ben j'ai trouvé mieux, ou tout du moins à la hauteur mais plus loufoque comme j'aime (oui je suis fan de cosmix banditos depuis que c'est sortie mais tout d'un coup je me sens vieux en disant ça bref...)

C'est ce que je lis en ce moment et à l'inverse de la route je l'economise... donc j'en lis un peu quand je peux, je sais nez enmoins que je l'aurais fini bientot et zut j'aime pas les trucs qui finissent... mais bon comme dit cette femme la vie c'est resister au chaos...

Bon il se trouve que j'ai entendu un samedi que j'etais dans ma voiture cette emission de france inter des radio francophones que j'aime sinon j'écoute les cd (tosca)... Et pis y a cette fille qui parle de son livre ou plutot des personnages de son livre qui sont tout loufoques comme j'aime et qui l'air de pas y toucher exprime une vraie tendresse pour ses personnages cabossés de la vie... Deja ça me touche...

Et pis ce livre, son titre est improbable comme le talent de son auteur : "on ne boit pas les rats-kangourou" a été lu par tous les correspondants francophones de l'émission et là de la suisse au quebec en passnt par la belgique tout le monde felicite ce premier roman... Et moi il me reste cette phrase : vivre c'est resister au chaos et cette galerie de personnages incroyable du coup j'ai commander le livre sur amazon et du coup, bravo voilà, je ne peux que le recommander paske après Camus et son monde absurde et mon plaisir de boire, oui oui, je prends un plaisir tel que j'ai envie de vous de vous le faire partager...

Bon ma copine lis un de mes cadeaux : transgression (roman pakistanais qui m'appelle très fort aussi) pendant que je savoure "il ne faut pas boire les rats kangourou"... Voilà p'tet que je vous en parlerais encore et encore...

Bon après avoir chialer comme un gosse à la fin de la route je fus surpris de lire sur le livre de estelle nollet que l'editeur (albin michel) avait trouvé une correpondance avec la route... Oui y a de ça, c'en est dirait on en pensant aux tontons flingueurs... Mais la vie est ainsi et je me ressert un verre de cette incongruité pourtant delicieuse un whisky français dénommé galleg avec un dolmen sur l'etiquette... Oui incongruité totale vu que les dolmens sont bretons dans ma tête... Oui, mais non c'est que dans ma tête paske ma copine qui est de Toulouse Ohh Toulouse mon pays ! me confirme qu'il y des dolmens dans l'aveyron et que même ils ont plus beaux que les bretons vu qu'ils sont gravés (elle connait pas encore bien la bretagne mais je m'y colle).. Et en alsace y'en a des dolmens ? et en provence ? bref...
On ne boit pas les rats kangourous...


cherchez pas sur le web puisque l'interview faite de estelle nollet par albin michel sur youtube est une merde faite par un journaliste sans culture ni sensibilité (heureusement que XXI existe sinon on en ferait une généralité sur la bétise des journaleux confirmée par la fabrique des petits soldats) qui aurait mieux fait de se bourrer la gueule avant de parler pour ne rien dire ni rien savoir, albin michel paye ce mec >?> j'arrive pas y croire et pourtant.... Ah...

la beauté est dans l'oeil de celui qui regarde c'est ce qui me permet de survivre...

Bref, elle est gentille cette estelle de pas envoyer se faire foutre ce commercial de base de l'edition esclave sans connaissance ni consentement (l'idée de la liberté disparue voilà la vraie liberté : 1984 BigBrother) de ses actionnaires qui s'en foutent de lire ou pas tant que ça rapporte !

oui ca me fait chier de payer albin michel pour cette médiocrité de promotion qui leur fait honte mais cela me plait de payer cette fille pour son texte genial et beau !..

Quand est ce que je pourrais la payer en direct à la mesure du plaisir de vivre qu'elle m'apporte ?

Mardi Gras !

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dimanche 10 janvier 2010

Vous reprendrez bien un peu de Morin ?

Merci à Luc Douillard pour avoir pointé ce que nous sommes nombreux à aimer malgré tout :
un texte d'Edgar Morin qu'il fait bon de lire pour les années 10 et les suivantes :
Bon, certes on aime pas trop la Voie avec un V majuscules et encore moins les religion comme aide ou point de depart d'un monde nouveau (c'est clair que ca n'a rien à voir avec le choucroute)... Mais pour les 5 raisons d'espérer : bien sur que d'accord evidement même que !

Point de vue
Eloge de la métamorphose, par Edgar Morin
LE MONDE | 09.01.10 | 13h08 • Mis à jour le 10.01.10 | 12h20

Quand un système est incapable de traiter ses problèmes vitaux, il se dégrade, se désintègre ou alors il est capable de susciter un meta-système à même de traiter ses problèmes : il se métamorphose. Le système Terre est incapable de s'organiser pour traiter ses problèmes vitaux : périls nucléaires qui s'aggravent avec la dissémination et peut-être la privatisation de l'arme atomique ; dégradation de la biosphère ; économie mondiale sans vraie régulation ; retour des famines ; conflits ethno-politico-religieux tendant à se développer en guerres de civilisation.
L'amplification et l'accélération de tous ces processus peuvent être considérées comme le déchaînement d'un formidable feed-back négatif, processus par lequel se désintègre irrémédiablement un système.

Le probable est la désintégration. L'improbable mais possible est la métamorphose. Qu'est-ce qu'une métamorphose ? Nous en voyons d'innombrables exemples dans le règne animal. La chenille qui s'enferme dans une chrysalide commence alors un processus à la fois d'autodestruction et d'autoreconstruction, selon une organisation et une forme de papillon, autre que la chenille, tout en demeurant le même. La naissance de la vie peut être conçue comme la métamorphose d'une organisation physico-chimique, qui, arrivée à un point de saturation, a créé la méta-organisation vivante, laquelle, tout en comportant les mêmes constituants physico-chimiques, a produit des qualités nouvelles.

La formation des sociétés historiques, au Moyen-Orient, en Inde, en Chine, au Mexique, au Pérou constitue une métamorphose à partir d'un agrégat de sociétés archaïques de chasseurs-cueilleurs, qui a produit les villes, l'Etat, les classes sociales, la spécialisation du travail, les grandes religions, l'architecture, les arts, la littérature, la philosophie. Et cela aussi pour le pire : la guerre, l'esclavage.

A partir du XXIe siècle se pose le problème de la métamorphose des sociétés historiques en une société-monde d'un type nouveau, qui engloberait les Etats-nations sans les supprimer. Car la poursuite de l'histoire, c'est-à-dire des guerres, par des Etats disposant des armes
d'anéantissement, conduit à la quasi-destruction de l'humanité. Alors que, pour Fukuyama, les capacités créatrices de l'évolution humaine sont épuisées avec la démocratie représentative et l'économie libérale, nous devons penser qu'au contraire c'est l'histoire qui est épuisée et non les capacités créatrices de l'humanité.

L'idée de métamorphose, plus riche que l'idée de révolution, en garde la radicalité transformatrice, mais la lie à la conservation (de la vie, de l'héritage des cultures). Pour aller vers la métamorphose, comment changer de voie ? Mais s'il semble possible d'en corriger certains maux, il est impossible de même freiner le déferlement techno-scientifico-économico-civilisationnel qui conduit la planète aux désastres. Et pourtant l'Histoire humaine a souvent changé de voie.

Tout commence, toujours, par une innovation, un nouveau message déviant, marginal, modeste, souvent invisible aux contemporains. Ainsi ont commencé les grandes religions : bouddhisme, christianisme, islam. Le capitalisme se développa en parasite des sociétés féodales pour finalement prendre son essor et, avec l'aide des royautés, les désintégrer.

La science moderne s'est formée à partir de quelques esprits déviants dispersés, Galilée, Bacon, Descartes, puis créa ses réseaux et ses associations, s'introduisit dans les universités au XIXe siècle, puis au XXe siècle dans les économies et les Etats pour devenir l'un des quatre puissants moteurs du vaisseau spatial Terre. Le socialisme est né dans quelques esprits autodidactes et marginalisés au XIXe siècle pour devenir une formidable force historique au XXe. Aujourd'hui, tout est à repenser. Tout est à recommencer.

Tout en fait a recommencé, mais sans qu'on le sache. Nous en sommes au stade de commencements, modestes, invisibles, marginaux, dispersés. Car il existe déjà, sur tous les continents, un bouillonnement créatif, une multitude d'initiatives locales, dans le sens de la régénération économique, ou sociale, ou politique, ou cognitive, ou éducationnelle, ou éthique, ou de la réforme de vie.

Ces initiatives ne se connaissent pas les unes les autres, nulle administration ne les dénombre, nul parti n'en prend connaissance. Mais elles sont le vivier du futur. Il s'agit de les reconnaître, de les recenser, de les collationner, de les répertorier, et de les conjuguer en une pluralité de chemins réformateurs. Ce sont ces voies multiples qui pourront, en se développant conjointement, se conjuguer pour former la voie nouvelle, laquelle nous mènerait vers l'encore invisible et inconcevable métamorphose. Pour élaborer les voies qui se rejoindront dans la Voie, il nous faut nous dégager d'alternatives bornées, auxquelles nous contraint le monde de connaissance et de pensée hégémoniques. Ainsi il faut à la fois mondialiser et démondialiser, croître et décroître, développer et envelopper.

L'orientation mondialisation/démon-dialisation signifie que, s'il faut multiplier les processus de communication et de planétarisation culturelles, s'il faut que se constitue une conscience de "Terre-patrie", il faut aussi promouvoir, de façon démondialisante, l'alimentation de proximité, les artisanats de proximité, les commerces de proximité, le maraîchage périurbain, les communautés locales et régionales.

L'orientation "croissance/décroissan-ce" signifie qu'il faut faire croître les services, les énergies vertes, les transports publics, l'économie plurielle dont l'économie sociale et solidaire, les aménagements d'humanisation des mégapoles, les agricultures et élevages fermiers et biologiques, mais décroître les intoxications consommationnistes, la nourriture industrialisée, la production d'objets jetables et non réparables, le trafic automobile, le trafic camion (au profit du ferroutage).

L'orientation développement/envelop-pement signifie que l'objectif n'est plus fondamentalement le développement des biens matériels, de l'efficacité, de la rentabilité, du calculable, il est aussi le retour de chacun sur ses besoins intérieurs, le grand retour à la vie intérieure et au primat de la compréhension d'autrui, de l'amour et de l'amitié.

Il ne suffit plus de dénoncer. Il nous faut maintenant énoncer. Il ne suffit pas de rappeler l'urgence. Il faut savoir aussi commencer par définir les voies qui conduiraient à la Voie. Ce à quoi nous essayons de contribuer. Quelles sont les raisons d'espérer ? Nous pouvons formuler cinq principes d'espérance.

1. Le surgissement de l'improbable. Ainsi la résistance victorieuse par deux fois de la petite Athènes à la formidable puissance perse, cinq siècles avant notre ère, fut hautement improbable et permit la naissance de la démocratie et celle de la philosophie. De même fut inattendue la congélation de l'offensive allemande devant Moscou en automne 1941, puis improbable la contre-offensive victorieuse de Joukov commencée le 5 décembre, et suivie le 8 décembre par l'attaque de Pearl Harbor qui fit entrer les Etats-Unis dans la guerre mondiale.

2. Les vertus génératrices/créatrices inhérentes à l'humanité. De même qu'il existe dans tout organisme humain adulte des cellules souches dotées des aptitudes polyvalentes (totipotentes) propres aux cellules embryonnaires, mais inactivées, de même il existe en tout être humain, en toute société humaine des vertus régénératrices, génératrices, créatrices à l'état dormant ou inhibé.

3. Les vertus de la crise. En même temps que des forces régressives ou désintégratrices, les forces génératrices créatrices s'éveillent dans la crise planétaire de l'humanité.

4. Ce à quoi se combinent les vertus du péril : "Là où croît le péril croît aussi ce qui sauve." La chance suprême est inséparable du risque suprême.

5. L'aspiration multimillénaire de l'humanité à l'harmonie (paradis, puis utopies, puis idéologies libertaire /socialiste/communiste, puis aspirations et révoltes juvéniles des années 1960). Cette aspiration renaît dans le grouillement des initiatives multiples et dispersées qui pourront nourrir les voies réformatrices, vouées à se rejoindre dans la voie nouvelle.

L'espérance était morte. Les vieilles générations sont désabusées des faux espoirs. Les jeunes générations se désolent qu'il n'y ait plus de cause comme celle de notre résistance durant la seconde guerre mondiale. Mais notre cause portait en elle-même son contraire. Comme disait Vassili Grossman de Stalingrad, la plus grande victoire de l'humanité était en même temps sa plus grande défaite, puisque le totalitarisme stalinien en sortait vainqueur. La victoire des démocraties rétablissait du même coup leur colonialisme. Aujourd'hui, la cause est sans équivoque, sublime : il s'agit de sauver l'humanité.

L'espérance vraie sait qu'elle n'est pas certitude. C'est l'espérance non pas au meilleur des mondes, mais en un monde meilleur. L'origine est devant nous, disait Heidegger. La métamorphose serait effectivement une nouvelle origine.

Sociologue et philosophe. Né en 1921, est directeur de recherches émérite au CNRS, président de l'Agence européenne pour la culture (Unesco) et président de l'Association pour la pensée complexe. En 2009, iI a notamment publié "Edwige, l'inséparable" (Fayard). A lire également, "La Pensée tourbillonnaire - Introduction à la pensée d'", de Jean Tellez (éditions Germina)

On a reçu ça pour ze new year 010

Allez pour commencer 2010 on s'écoute le formidable discours anthologique, THE discours qui va faire date d'hugo Chavez à Copenhagen histoire de se remonter le moral !

Il fout la honte à tous ces pseudo-présidents à la con, surtout le notre qui au lieu de recommander de lire l'un de nos meilleurs écrivain/philosophe national, préfère comparer Zidane à Picasso et écouter johnny et mireille mathieu ! Pfff...


lien :
sur dailymotion


Good année 2010 et Viva la résistance !!!!!
marjo